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Univers Mercedes
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Sujet: Re: [Info] L'Iran ... Sam 28 Jan 2012 - 8:11
Une curieuse Info lu hier sur AGORAVOX
Les USA envoient un très vieux porte avions vers l’Iran...
C’est à se demander si c’est du lard ou du cochon. Si vous avez oublié votre Histoire du Lycée, je vous invite à aller réviser les incidents dits du « Golfe du Tonkin ». Le 2 et 4 aout 1964, les USA ont prétendu avoir subi une attaque à la torpille contre le navire USS Maddox.
En 1995, le General Vo Nguyen Giap, très bon ami de la France depuis Dien Bien Phu (1954), a déclaré que ses forces n’ont jamais attaqué les Américains. Plus tard, en 2005, la NSA déclassifie des documents dont un rapport interne datant de 2001 et selon lequel l’attaque du 4 aout n’a jamais eu lieu.
Ces attaques ont servi comme prétexte à la guerre du Vietnam causant 2 millions de morts chez les locaux et 50’000 morts US. Le cycle prétexte / guerre se perpétue de génération en génération. Les politiques et le complexe militaro-industriel s’enrichissent et les jeunes qui veulent « défendre leur patrie » partent au casse-pipe, massacrant au passage des populations civiles.
Aujourd’hui, les USA veulent la peau de l’Iran. Ce n’est ni le premier, ni le dernier pays qui subit leurs attaques. Dans 50 ans, à moins qu’ils aient fait faillite, ils seront encore en train de fabriquer des raisons pour attaquer d'autres pays.
Connaissant donc la méthode habituelle, on ne peut que s’inquiéter de l’envoi du vieux porte-avion Etasunien "USS Enterprise" dans le golf Persique (1). Ce porte avion a été commandé en 1957 et a été commissionné en 1961. Arrivant à la fin de sa vie, son démantèlement est prévu pour l’année prochaine. Ce navire est propulsé par des turbines à vapeur prenant leur énergie dans 8 réacteurs nucléaires qui coutent très cher à démanteler.
L’idée d’aller l’agiter sous le nez des Iraniens n’est pas totalement bête. Ces derniers pourraient se fâcher, s’en approcher et soudainement il explosera et coulera chez les Arabes. On est ultra proches du 11 septembre là. Donc la presse annonce que les Iraniens ont coulé l’USS Entreprise. On connait déjà la triste suite. Stay tuned. On ne va se faire entuber comme à chaque fois !
"Un scénario militaire serait un cauchemar pour le président Obama, en campagne électorale pour se faire réélire le 6 novembre 2012. Les prix à la pompe à essence s'envoleraient aux Etats-Unis, faisant à l'inverse plonger ses chances de rassurer l'Américain moyen sur les perspectives de redressement économique.
Dans ce contexte, l'administration Obama a demandé au gouvernement israélien de ne rien faire militairement avant l'échéance du scrutin présidentiel aux Etats-Unis, affirment des sources diplomatiques et issues des milieux de défense et de sécurité, à la fois côté américain, en Europe et en Israël. L'évaluation américaine de l'imminence de la menace nucléaire iranienne n'est pas identique à celle des Israéliens, plus alarmistes pour le calendrier. Le message américain adressé aux Israéliens est : ne vous précipitez pas, il sera toujours temps d'agir plus tard, et peut-être ensemble, s'il le faut vraiment. Avec un ajout : vous avez besoin de nous.
Les responsables israéliens répondent en évoquant la "fenêtre de tir" qui se rétrécit. "Au cours des six prochains mois, il faudra prendre une décision, et une non-décision est aussi une décision, dit une source proche du dossier. Ça se jouera avant la présidentielle américaine." Sinon, l'hiver étant moins propice à des frappes aériennes, une absence de décision en 2012 reporterait l'affaire à l'été 2013, ce qui donnerait une année supplémentaire aux Iraniens pour poursuivre leur stratégie d'accumulation d'uranium enrichi, à l'abri dans des lieux "bunkerisés". En fait, les Israéliens ont cessé de mesurer les travaux iraniens en termes de "lignes rouges" - car tant ont déjà été franchies. Ils se préoccupent désormais du degré d'"irréversibilité" du programme.
"L'Iran s'approche lentement mais sûrement du moment où il entrera dans une zone d'immunité", a déclaré Ehoud Barak, le ministre de la défense, lors d'une conférence internationale sur les questions de sécurité, à Herzliya, au nord de Tel-Aviv, le 2 février. Cette "zone d'immunité", a-t-il expliqué, c'est "le moment où soit les mesures de protection des travaux (nucléaires), soit leur duplication, rendront une attaque (aérienne) impossible". En allusion apparente aux appels américains à repousser toute action militaire, le ministre israélien a mis en garde : "Ceux qui disent "plus tard" pourraient découvrir que "plus tard", c'est trop tard".
Au centre de l'imbroglio nucléaire iranien et des rumeurs de frappes aériennes qui se sont intensifiées ces derniers temps, il y a l'activité incessante des centrifugeuses, ces tubes métalliques qui enrichissent l'uranium. Depuis janvier, une batterie d'entre elles opère dans un site, Fordow, creusé à 90 mètres de profondeur dans une montagne, et donc a priori à l'abri des bombes. Les échanges de renseignements vont bon train entre Israéliens et Américains à propos de ce qui se passe dans ce site : ce qui y entre, ce qui pourrait en sortir... Car, chacun en est convaincu, cette installation a été conçue par l'Iran comme un lieu sanctuarisé, destiné à produire de la matière fissile utilisable dans un engin nucléaire.
Les responsables américains ont cherché à contrer l'idée que Fordow deviendrait invulnérable à partir d'une certaine date. Ils ont fait "fuiter" dans les médias des informations du Pentagone sur la préparation de nouvelles bombes américaines "anti-bunker", hautement performantes. Certains officiels américains suggérant même que des "armes nucléaires tactiques pourraient être la seule option" !
C'est dans ce contexte que se déroule la course contre la montre entre l'impact des sanctions internationales et l'avancée des travaux scientifiques iraniens. Avec l'embargo pétrolier, les Occidentaux sont passés d'une politique de sanctions centrées sur les activités de prolifération de l'Iran à une stratégie visant ouvertement le coeur de l'économie nationale, et comportant de ce fait l'ambition de provoquer un changement de régime, qui reste inavouée. Ce tournant n'a pas échappé à la Russie, en particulier, qui fustige un nouvel interventionnisme, hors du cadre de l'ONU.
Les mesures coercitives, couplées aux déclarations américaines répétant que "toutes les options restent sur la table", visent tout autant à retenir le feu des Israéliens qu'à mettre le régime iranien sous pression. Lorsque le Washington Post écrit, sous la plume du très renseigné David Ignatius, que l'administration américaine pense que des frappes israéliennes sont possibles "au printemps", ou bien quand les conseillers de Nicolas Sarkozy confient qu'une action militaire israélienne "préventive" pourrait se produire à l'été, le message sous-jacent est clair : c'est un "je-vous-ai-compris" adressé aux dirigeants israéliens.
En diplomatie, la perception, la posture, sont souvent plus importantes que les faits. Ainsi, Barack Obama laisse son ancien conseiller pour le Moyen-Orient, Dennis Ross, dire que, "ne vous y trompez pas", jamais l'occupant de la Maison Blanche n'hésitera à utiliser la force contre l'Iran. C'est la meilleure façon d'éviter d'avoir à passer par la case "guerre", tout en se mettant à l'abri du reproche de mollesse que lui font ses concurrents du Parti républicain. Le président américain rappelle aussi, au besoin, que la voie militaire "n'est pas la voie préférée".
Ce qui ne peut être énoncé publiquement, en revanche, c'est la tentation qui semble persister, au sein de l'équipe Obama, de mener une politique d'endiguement (containment) de l'Iran si ce pays franchit ce qui est habituellement décrit comme le "seuil" nucléaire - sans qu'il existe une définition unique et incontestée de ce terme. "Endiguer l'Iran jusqu'à ce que le régime tombe, nous dit un membre de l'administration, sous couvert d'anonymat. C'est ce que nous avons fait avec Staline et l'URSS, après tout." Au début du mandat d'Obama, la secrétaire d'Etat Hillary Clinton avait laissé entrevoir cette possibilité en parlant de "parapluie" américain au Moyen-Orient. Des "fuites" récentes, dans la presse américaine, parlent d'un scénario du seuil "à la japonaise" pour l'Iran : la détention de la technologie et des composants de l'arme suprême, mais sans l'assembler.
Certains experts font par ailleurs observer qu'historiquement, à moins d'un changement de régime (par exemple l'Afrique du Sud sortant de l'apartheid), aucun pays n'a jamais renoncé au nucléaire militaire une fois atteint un niveau technologique comparable à celui que maîtrise déjà l'Iran.
En public, l'objectif proclamé par les Occidentaux, c'est le démarrage de véritables négociations avec l'Iran. Ce n'est qu'une fois placé au bord du "gouffre" que le régime iranien finira par "bouger". On en veut pour preuve l'arrêt de la guerre Iran-Irak, en 1988, quand la République islamique exsangue avait dû, selon le mot de Khomeiny, "boire la coupe de poison", et déclarer un cessez-le-feu. La récente reprise des visites de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a été notée, mais fait craindre une nouvelle manoeuvre dilatoire, tant l'opacité iranienne demeure. L'administration Obama continue de son côté d'essayer des mains tendues, notamment en envoyant des navires militaires américains secourir des marins iraniens perdus dans le Golfe ou kidnappés par des pirates somaliens.
Ce qui a été observé avec grande attention par Washington, c'est la façon dont les Iraniens ont battu en retraite, fin janvier, après avoir menacé le porte-avions USS Lincoln s'il revenait dans les eaux du Golfe. En fait, quand l'énorme bâtiment a franchi le détroit d'Ormuz, accompagné en plus de navires britannique et français, Téhéran a fait comme si de rien n'était. Ainsi, l'Iran vitupère mais se garde, semble-t-il, de faire déraper la situation militaire en sachant qu'un affrontement avec l'armada américaine ne jouerait pas en sa faveur. Comme en 2003, quand il craignait une attaque après l'invasion américaine de l'Irak, le pouvoir iranien semble ainsi se livrer à un calcul permanent de "coût-bénéfice". Un point d'entrée possible pour une solution négociée du problème nucléaire ?
Il se peut que la réponse à la question "y aura-t-il des frappes en 2012 ?" dépende en grande partie de l'état de la relation entre Israël et les Etats-Unis. Plus précisément, entre deux hommes qui semblent se détester : Barack Obama et le premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou. Le second fera-t-il suffisamment confiance au premier pour retenir ses avions de chasse jusqu'en 2013 ou au-delà, au prétexte que le succès serait alors partagé ? Le "faucon" du Likoud conçoit le dossier iranien comme une "menace existentielle" pour Israël et considère que son legs historique ainsi que le "plus jamais ça", après la Shoah, sont en jeu. Il prend au mot Mahmoud Ahmadinejad et le Guide Khamenei lorsqu'ils appellent à l'élimination de l'Etat juif, comparé à une "tumeur cancéreuse ".
Certains, côté occidental, prêtent des calculs électoralistes au dirigeant israélien. Beaucoup pensent qu'un facteur d'ordre personnel joue énormément : "Bibi" aurait l'obsession de ne pas apparaître faible aux yeux de son père, Benzion Nétanyahou, un intellectuel d'extrême droite. La politique intérieure aux Etats-Unis, pays où "Bibi" a passé une partie de sa jeunesse, n'a, en tout cas, aucun secret pour le premier ministre israélien, persuadé qu'il "tient" Obama par là où ça peut faire mal. Le triomphe de Nétanyahou en mai 2011 devant le Congrès américain dominé par les républicains aurait achevé de le convaincre qu'il peut se passer d'un feu vert de la Maison Blanche pour attaquer.
Mais les Israéliens préféreraient de loin que ce soit l'US Army qui frappe l'Iran. Pour éviter que l'Etat juif, déjà mal à l'aise avec le chamboulement stratégique des révoltes arabes, se retrouve seul. Pour éviter qu'il soit en première ligne, face aux retombées diplomatiques internationales, et face aux représailles iraniennes. Ces éléments, ainsi que la question des moyens militaires d'Israël face à un programme iranien éparpillé en un archipel de sites, font l'objet de débats internes intenses. L'appui américain est souhaité afin de produire "une menace militaire crédible", seule susceptible de faire plier l'Iran.
Les services secrets israéliens pensent qu'il reste encore du temps, et qu'une opération militaire attirerait trop de problèmes pour un gain relatif, puisque le programme iranien ne serait que retardé. Meir Dagan, l'ancien chef du Mossad, a porté ce débat sur la place publique, en vantant par ailleurs l'effet des actions de sabotage. Les militaires sont partagés. Nétanyahou penche pour des frappes. Son ministre de la défense, Ehoud Barak, partagerait cet avis, mais il met l'accent sur l'importance de la relation avec les Etats-Unis. Il pense qu'un terrain d'entente est possible avec l'administration Obama, que Nétanyahou traite avec distance. "Bibi" pense qu'il faut passer par-dessus la tête du président des Etats-Unis, en s'adressant à l'opinion et aux élus.
Quand on demande à des connaisseurs qui, dans ce duo israélien, a la main haute, la réponse la plus fréquente est : Nétanyahou. Mais les préoccupations d'Ehoud Barak sont partagées, si l'on en juge par l'une des tables rondes de la conférence d'Herzliya, intitulée : "Israël est-il un atout stratégique pour les Etats-Unis ?"
Cité dans le récent article, et fort remarqué, du New York Times Magazine intitulé "Faire la guerre ou pas", Ehoud Barak a posé comme condition préalable à une action militaire israélienne "un soutien ouvert ou tacite, en particulier des Etats-Unis". A Herzliya, le même insistait : "Les Etats-Unis sont le meilleur et le plus formidable ami d'Israël, et cela est vrai de l'administration Obama ! (...) Nous demandons à nos amis - et c'est leur position - qu'il ne soit pas permis à l'Iran de devenir nucléaire !"
Comme en écho, l'ambassadeur américain Dan Shapiro avait souligné l'"extraordinaire coordination" entre les deux pays, mais en glissant un commentaire semble-t-il plein d'allusions : "Israël a intérêt à ce que les Etats-Unis soient perçus favorablement, et comme forts, dans le monde arabo-musulman." C'est-à-dire, pas débordés par leur petit mais puissant allié dans la région ? Benjamin Nétanyahou prévoit de se rendre à Washington début mars. L'AIEA doit retourner en Iran les 20 et 21 février.
En 1981, selon le récit qu'en a fait dans ses mémoires l'ambassadeur Lewis, un an environ avant le raid sur Osirak, "le refrain israélien était : soit les Etats-Unis font quelque chose pour arrêter ce réacteur (irakien), soit nous serons obligés de le faire !" Puis, six mois avant l'attaque, les "fuites" dans les médias ont subitement cessé. Plus une seule sonnette d'alarme tirée par les Israéliens ! Ce silence abrupt, "rétrospectivement, c'était l'indice que la décision de bombarder avait été prise", estime Lewis.
Si l'on suit cette logique, la conclusion à tirer est la suivante : tant que, dans les médias internationaux, un "buzz" intensif se poursuivra sur un risque de frappes en 2012, celles-ci ne seront pas imminentes. Le 6 février, les médias israéliens ont annoncé que Nétanyahou avait ordonné le silence à ses ministres à propos de frappes sur l'Iran."
Je ne sais trop quoi penser de cette histoire, ça démange Israël et les USA d'y aller depuis longtemps et encore les Etats Majors des deux pays semblent très divisés sur la question, La chine a déjà annoncé qu'attaquer la Chine reviendrai à les attaquer et qu'ils ne resteraient pas les bras croisés... la Russie, le Pakistan et même l'Inde sont plus ou moins impliqués et à peu près sur la même ligne..
Tout est possible, même le pire, mais ce n'est pas certain... Beaucoup de désinformation de toutes parts, très difficile d'y voir clair
Je ne sais trop quoi penser de cette histoire, ça démange Israël et les USA d'y aller depuis longtemps et encore les Etats Majors des deux pays semblent très divisés sur la question,La chine a déjà annoncé qu'attaquer la Chine reviendrai à les attaquer et qu'ils ne resteraient pas les bras croisés... la Russie, le Pakistan et même l'Inde sont plus ou moins impliqués et à peu près sur la même ligne..
Tout est possible, même le pire, mais ce n'est pas certain... Beaucoup de désinformation de toutes parts, très difficile d'y voir clair
Salut Bob,
Pour la phrase en rouge, je comprends... Direct pour nourrir le bêtisier. Mais je suis d'accord, il devient difficile de trouver la vérité dans la presse.
"L'Iran est derrière les auteurs des tentatives d'attentats contre les ambassades israéliennes en Inde et en Géorgie, a assuré ce lundi le Premier ministre Benjamin Netanyahou.
"L'Iran, qui est derrière ces attentats, est le plus grand exportateur de terrorisme au monde", a-t-il déclaré, s'adressant à des élus du Likud au parlement. Le chef du gouvernement a en outre dressé un parallèle avec des attentats manqués, le mois dernier en Thaïlande et en Azerbaïdjan, dont l'Iran et ses "supplétifs" du Hezbollah sont selon lui responsables.
Quatre personnes ont été blessées lundi par l'explosion d'une voiture appartenant à l'ambassade d'Israël à New Delhi et un second engin explosif a pu être neutralisé dans un autre véhicule de l'ambassade de l'Etat hébreu à Tbilissi. Le ministère indien de l'Intérieur a précisé que parmi les blessés figurait un membre de l'ambassade."
Oui, c'est forcement l'Iran .... Et jamais de la vie un "False Flag" des Israëliens Sionnistes pour avoir une excuse pour bombarder l'Iran ... non non
Je regardais en Syrie, tous les jours, les crevures de la radio annonçant des morts par dizaines, et officiellement toujours 6000 morts ..depuis des mois ... pas de preuves directs, il y a des on-dit de journacreux peu scrupuleux, pas du tout en fait qui citent d'autres journacreux, fausses images tournées ailleurs, montage, pire les images pourraient être vrai, mais pas de preuves direct que l'état soit impliqué, mais "on affirme" ... ce que j'appelle "Diffamer"
Dans quelques jours, Néthanyouyou va nous faire croire que l'Iran est impliqué dans la shoananas ...
L’Iran a cessé ses exportations de pétrole vers l’Allemagne et sanctionné 100 entreprises de l’Union européenne, en réponse à ses sanctions pétrolières et bancaires, ont rapporté mercredi les médias iraniens, à trois jours de la reprise des négociations nucléaires.
L’Iran a cessé ses exportations vers l’Allemagne, après une mesure identique concernant la France et la Grande-Bretagne, et il est à prévoir que les exportations vers l’Italie vont également s’arrêter, a rapporté la chaîne de télévision en arabe Al-Alam.
La République islamique d’Iran a également décidé de sanctionner 100 entreprises européennes et d’interdire l’importation de leurs produits en réponse aux sanctions illégales et unilatérales de l’Union européenne, a ajouté Al-Alam, citant une source bien informée, sans plus de précision.
Ces mesures interviennent alors que les pays de l’UE ont décidé le 24 janvier d’imposer un embargo pétrolier graduel sans précédent à l’Iran et de sanctionner sa Banque centrale afin d’assécher le financement de son programme nucléaire controversé.
En réaction, Téhéran avait décidé à la mi-février d’arrêter ses ventes de pétrole à la France et à la Grande-Bretagne, dont les achats étaient minimes.
Et mardi, l’Iran, second pays de l’Opep, a annoncé qu’il ne vendait également plus de pétrole à l’Espagne et à la Grèce.
Un porte-parole du ministère espagnol des Affaires étrangères a précisé que l’Espagne n’importait plus depuis fin février de pétrole iranien.
En 2011, les exportations pétrolières vers l’Europe représentaient quelque 450.000 barils de pétrole par jour, soit environ 18% des exportations iraniennes.
L’Italie (180.000 b/j), l’Espagne (160.000 b/j) et la Grèce (100.000 b/j) étaient les trois principaux clients du pétrole iranien parmi les pays européens.
Ces annonces interviennent à trois jours de la reprise des négociations nucléaires entre l’Iran et les pays du groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne), prévue samedi à Istanbul.
Le chef des négociateurs iraniens Saïd Jalili a indiqué mardi que l’Iran présenterait de nouvelles initiatives pour tenter de régler la crise, sans préciser leur nature.
Ces annonces interviennent à trois jours de la reprise des négociations nucléaires entre l’Iran et les pays du groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne), prévue samedi à Istanbul.
Depuis quand l'Allemagne fait-elle parti du conseil de sécurité de l'ONU ????
De toute manière les ayatollahs et leurs sbires ne prennent pas grand risque ...les chinois achetent tout ce qui est possible d'acheter comme petrole et comme c'est deja le premier client de l'Iran ...la Chine ne fera qu'augmenter son pourcentage dans les exportations ...avec le risque pour l'Iran de n'avoir qu'un ou 2 clients qui ,à partir de cette position de force peuvent tirer les prix à la baisse ...par un chantage habile dont l'Empire du Milieu a le secret On arriverait au paradoxe suivant:les pays "civilisés" payent leur petrole plus cher à cause des tensions géopolitiques dans le detroit d'Ormuz ,de la simili pénurie causée par le boycott de l'Iran ,pas mal aussi à cause de nos braves banquiers qui spéculent et dans le même temps leur principal concurrent ,à l'echelle du commerce mondial se trouve à le payer moins cher ...quand je vous dis que ce monde marche sur la tête !!!!
OUAIP!! Mais ça consomme de l'avoine et le groupement OMPA (Organisation Mondiale des Producteurs d'Avoine ) a décidé lors de sa dernière réunion à Lombez (sic) de maintenir les quotas de productions et d'augmenter les prix de 23.742% ce qui va mettre le boisseau (unité internationale de mesure de l'avoine ) à 28.37 US$
J'en connais un qui va s'en prendre une ......d'avoine !!!
Dernière édition par noelbailli le Sam 14 Avr 2012 - 10:05, édité 1 fois
La concentration de troupes russes à la frontière russo-iranienne, pour venir en aide à l'Iran en cas d'attaque (prévue éventuellement cet été), confirme que Moscou sera directement impliqué. Ce qui signifie une internationalisation entraînant les USA.
On parle bien sûr, en fait de “conflit armé”, de la nébuleuse de crises diverses dont celle de la Syrie et celle de l’Iran, évoluant en “crise haute” selon notre classification. Des signes divers ne cessent de se multiplier, dans le même sens qui est celui d’une impression extrêmement affirmée que la Russie exclut de moins en moins une confrontation armée où elle pourrait être impliquée, et elle-même se préparant en conséquence.
Cette attitude est évidemment en accord d'esprit et de logique avec la réinstallation puissante de la Russie comme acteur extérieur principal au Moyen-Orient. DEBKAFiles écrit, le 8 avril 2012 : «Lavrov, rather than US Secretary of State, Hillary Clinton is evidently regarded these days as the senior Middle East power broker. In a thumbs-down on Russia’s deepening footstep in the region, the London-based Saudi Sharq al Awsat captioned a Sunday op-ed item, “Nor do we want a ‘Sheikh’ Lavrov.” For the first time since the Cold War ended, the management of a major world crisis has passed into the hands of the Kremlin in Moscow and the UN Secretariat in New York.» (Voir aussi, sur ce thème, notre Analyse du 5 avril 2012.)
La Russie est donc conduite à estimer qu’elle a désormais une responsabilité majeure dans la région, une responsabilité pour la sécurité et la stabilité de la région directement connectées à sa propre sécurité et à sa propre stabilité, et avec son nouveau statut de puissance d’influence centrale. Pour cette raison, la Russie est directement intéressée par la dimension militaire de la situation, autant que par la situation diplomatique. Le même article de DEBKAFiles donnent des indications aussi à ce propos des dispositions militaires, dont on voit que certaines remontent même jusqu’en Pologne… (Nous avons déjà envisagé ce déplacement des tensions de la part des Russes, avec des pressions vers le Nord de l’Europe, notamment face à la Pologne, le 2 janvier 2012.)
La suite de l'article ..
Spoiler:
«Russia sent its Foreign Minister Sergey Lavrov last week on a round trip to the capitals of Armenia, Azerbaijan, Kazakhstan, Kyrgyzstan and Uzbekistan – an expedition designed to secure Iran against a potential US/Israeli attack via its northern and eastern neighbors, DEBKAfile’s military sources report. On his return to Moscow, April 6, the Russian army let it be known that highly-advanced mobile S-400 surface-to-air missiles had been moved into Kaliningrad, the Baltic enclave bordered by Poland and Lithuania, its response to US plans for an anti-Iran missile shield system in Europe and the Middle East. »In Yerevan, the Russian minister finalized a deal for the establishment of an advanced Russian radar station in the Armenian mountains to counter the US radar set up at the Turkish Kurecik air base, our sources disclose. Just as the Turkish station (notwithstanding Ankara’s denials) will trade data on incoming Iranian missiles with the US station in the Israeli Negev, the Russian station in Armenia will share input with Tehran.»
Le G2’ Bulletin, de Joseph Farah, donne l’information de la concentration de troupes russes à la frontière russo-iranienne, éventuellement pour venir en aide à l’Iran en cas d’attaque, – «Plans to move troops to protect interests, possibly assist Islamic enclave.» (La nouvelle, réservée aux abonnés, est donnée succinctement sur le site DailyPaul.com le 9 avril 2012, sous cette forme : « The Russian military anticipates that an attack will occur on Iran by the summer and has developed an action plan to move Russian troops through neighboring Georgia to stage in Armenia, which borders on the Islamic republic, according to informed Russian sources. Russian Security Council head Viktor Ozerov said that Russian General Military Headquarters has prepared an action plan in the event of an attack on Iran…») Le 7 avril 2012, PressTV.com avait présenté une interview d’un ancien officiel du Pentagone, Michael Malouf, sur la situation et les intentions militaires de la Russie dans l’ensemble Syrie-Iran… «“Unfortunately, what's now occurring in Syria and even the threat to Iran by the Israelis is having a very serious effect on the Russians in terms of their own vital interests in the Middle East,” Malouf went on to say that Russia “has some major military assets in Syria itself that will probably come into play if the opposition continues the way it is right now in continuing to bombard unabated.” »On Thursday, Russian Foreign Minister Sergei Lavrov warned Western and Arab nations against arming foreign-backed opposition groups in Syria, saying that a heavily armed opposition won’t defeat the Syrian army. This comes as several Persian Gulf Arab states and the United States pledged 100 million dollars to provide salaries and communications equipment for Syrian rebels fighting against the government. “When the opposition first started out they didn't have very much in terms of arms; now they have very exotic weapons. Where did they get those weapons? They had to come from the outside. You had Saudi Arabia arming and providing that kind of assistance,” Malouf added. »However, Moscow has responded to Western encroachment by “moving more and more troops and modernizing their base in Armenia in anticipation of the whole crisis in the Middle East from Syria to Iran exploding.” […] “Not only the crisis in Syria, but in the larger geo-political and geo-strategic stand point this is also going to be the problem with respect to the potential threats that you're hearing from not only the US, but from Israel in wanting to bomb Iran - It's making Moscow increasingly uneasy in terms of the instability in the region,” Malouf concluded.» Ces diverses nouvelles confirment un climat général, que le chef d’état-major des forces armées russes avait bien défini il y a quelques jours en annoncent qu’il pensait qu’une attaque contre l’Iran était possible, sinon probable cet été. Le rapport immédiat qui vient à l’esprit est qu’il est de plus en plus probable, sinon quasi assuré, que la Russie ne restera certainement pas indifférente, et certes pas inactive en cas d’attaque contre l’Iran. L’avertissement de Rogozine du 13 janvier (voir notre Bloc Notes du 14 janvier 2012) n’était pas de simple convenance ni seulement rhétorique : comme il le disait à ses collègues de l’OTAN entre deux petits fours, au cours de sa réception d’adieu à Bruxelles, la sécurité de l’Iran concerne directement la sécurité nationale de la Russie. Rogozine est actuellement Vice-Premier ministre et ministre de l’armement, et il devrait passer au poste essentiel de la défense en restant Vice-Premier dans le futur gouvernement Poutine : ses avis expriment plus que jamais l’orientation de la direction russe, comme ceux qu’il présentait en janvier les annonçaient déjà. Cela implique donc qu’une aggravation armée de la situation en Syrie ou une attaque en Iran impliquerait presque automatiquement des forces russes en tant que telles, en plus d’un soutien matériel russe aux deux pays concernés. On n’a guère l’impression, sauf chez les chefs militaires US interrogés précisément sur la question syrienne, que ce point soit pris en très grande attention par les dirigeants politiques du bloc BAO, et d’Israël et des USA particulièrement. Il est vrai que les uns et les autres sont suffisamment occupés à intriguer entre eux et les uns contre les autres, comme dans le cas d’Obama versus Netanyahou, pour songer à s’inquiéter de l’implication directe possible, sinon probable, de la Russie dans un conflit où ils seraient eux-mêmes partie prenante, sinon responsables pour une large part. …Il est extrêmement rare de mesurer un tel climat d’irresponsabilité, et c’est même sans précédent historique par rapport à la hauteur et à l'importance considérable de l’enjeu. Ces gens se rendent-ils compte qu’ils risquent de plus en plus un affrontement majeur, qui ne serait plus réduits aux habituelles puissances-gangsters du bloc BAO et à leurs victimes attaquées en toute illégalité ? Qu’en parlant d’“affrontement majeur”, on parle évidemment d’un conflit qui peut effectivement dégénérer jusqu’aux cas les plus graves envisageables, c’est-à-dire le risque d’une guerre mondiale, ou dans tous les cas d'une guerre au niveau le plus haut ? Qu’il faut désormais sérieusement envisager la connexion entre ces crises géopolitiques nationales (Syrie et Iran) et la crise stratégique transversale des antimissiles, et donc une extension des conditions d’un éventuel conflit à l’Europe elle-même ? La réponse est bien entendu que bien peu, sinon aucun parmi ces dirigeants, ne s’occupent directement de ces questions, – réponse négative, par conséquent, sur le fond, à toutes ces questions un peu irritantes. Il s’agit certes d’une dynamique-Système qui dépassent tous ces dirigeants, dont ils tentent de limiter les effets sans en rien comprendre du fond, ou d’orienter ces effets d’une façon avantageuse pour eux, électoralement s’entend. L’on sait que, pour Obama dans les mois à venir, l’attaque éventuelle de l’Iran, avec ou sans les USA, ne s’envisage essentiellement qu’en termes d’interférences positives ou négatives sur sa réélection. D’autre part, il faut considérer que c’est effectivement dans une telle occurrence où l’une ou l’autre, ou l'une et l'autres de ces situations de conflit prendraient un tour aussi dramatique qu’on peut désormais envisager, que les situations intérieures de l’une ou l’autre puissance du bloc BAO pourrait être gravement déstabilisée, avec la mise en cause du pouvoir lui-même. Le scénario d’une attaque contre l’Iran est en effet une de ces hypothèses que certains analystes favorisent pour envisager la “fin de l’Empire” (ou ce qu’il en reste), c’est-à-dire du pouvoir central de Washington, aux USA. Tout cela confirme amplement que l’extension de ces crises en “crise haute”, avec un potentiel colossal d’ébranlement du monde, est désormais un fait avéré de la situation internationale.
Je ne pense pas que s'il devait y avoir intervention en Iran, il s'agirait d'une guerre terrestre.... Dans ce cas quel intérêt de concentrer des chars à la frontière ?!?
Plutôt une manière de réaffirmer la volonté de la Russie de ne pas rester les bras croisés, ce ne sont pas les seuls d'ailleurs, les Chinois ont déjà fait savoir qu'attaquer l'Iran, reviendrai à les attaquer, quand à l'Inde depuis l'embargo bancaire, elle paye l'Iran en or
Attaquer l'Iran c'est commencer la III ème Guerre Mondiale, y a t-il vraiment des dingues pour y aller, c'est plus que probable, cela se produira t-il vraiment ??? c'est moins sur... quoique, mais les chars ne serviront pas à grand chose Amha
Attaquer l'Iran c'est commencer la III ème Guerre Mondiale, y a t-il vraiment des dingues pour y aller, c'est plus que probable, cela se produira t-il vraiment ??? c'est moins sur... quoique, mais les chars ne serviront pas à grand chose Amha
Je pense qu'on y coupera pas, c'est malheureusement un "passage obligé", et faudra pas croire qu'en France on ne fera que voir ça à la TV .... meme si je pense qu'on morflera moins.
Pour ma part je crois que Poutine applique la vieille maxime latine ... "Si vis pacem para bellum " (Si tu veux la paix prepare la guerre )
En montrant ses muscles ,en faisant maneuvrer son armée il rappele aux ricains et particulièrement aux" faucons" (Il y a aussi des vrais !!! Mais c'est une autre histoire!! ) qu'il ne faut pas pousser grand mère dans les orties à leur porte ...Chacun son pré carré ... En plus je ne vois pas Obama ,en année éléctorale ,se laisser aller ...d'autant qu'il ne s'est tjrs pas sorti du bourbier afghan...bien sur ...ça lui eviterait de devoir rapatrier ses "Boys" mais l'opinion publique ricaine n'est pas prete pour un nouveau merdier ...malgré l'appat du pétrole !!! Reste les "faucons " d'Israël ...je pense ....peut etre à tort ...qu'ils ne bougeront pas sans un soutien certain des USA ..qu'ils n'auront sans doute pas avec cette présidence On se dirige à mon avis vers une agitation diplomatique avec grands mouvements de brassage de vent ,menaces en tout genre..d'autant que la Chine est en train de se constituer une armée moderne qui fait que les deux super-grands risquent d'avoir d'autres chats à fouetter dans les temps qui viennent que les chats persans
Je suis assez de ton avis François les ricains font de grands moulinets, mais ils n'ont plus les moyens de leurs ambitions sauf à tout faire péter.... la roue tourne, ils ont du mal à l'admettre, nous également mais après la suprématie européenne puis américaine, vient l'heure eurasiatique et comme Russes, Chinois & Indiens semblent ne plus se regarder en chien de faïence mais aborder la question avec pragmatisme... C'est un sérieux contre poids à l'US Army....
MOUAIS ...l'histoire de l'Enterprise envoyé comme appat sacrificiel ....Pas trop crédible...c'est vrai que tout est possible avec Israël et les USA ....mais ...une grosse pollution nucleaire dans le Golfe Persique ...c'est aussi hypothèquer les exportations de toute la région ...Arabie Saoudite ,Koweit ,Abou Dhabi et nos "copains " du Quatar ...sans compter l'Irak ..c'est un peu scier la branche sur laquelle on est assis ....parce que ce n'est pas Chavez qui va les depanner ..le Nigeria est un vrai bordel ..restent le Mexique ,l'Alaska ,l'Angola et le Maghreb...pas suffisant ...ou alors ils n'auraient pas reflechi ....Surprenant !!!
Mais ...une grosse pollution nucleaire dans le Golfe Persique
Concernant la pollution nucléaire, entre les munitions à l'uranium appauvri déjà utilisées aussi bien en Irak qu'en Libye et surtout depuis Tchernobyl & Fukushima, je pense que c'est vraiment le cadet de leurs soucis
De toute façon, s'ils ont réellement l'intention de bombarder les installations nucléaires iraniennes, voir avec des armes nucléaires.... !!! On est plus à ça prêt...
On a encore raté le coche, si on avait été patient, on aurait pu envoyer le Clemenceau....