[Essai] Maybach 57S : Coupé Xenatec 2010 / Coupé Cruiserio 2011

Maybach 57S : un coupé par Xenatec
Loïc Bailliard le 22/10/2010
Source : motorlegend

Maybach 57S : un coupé par Xenatec
Vous aimez le luxe outrancier d'une Maybach mais souhaitez être sûr que votre voisin ne se fasse pas déjà promener dans le même modèle ? Le préparateur Xenatec a probablement la solution qu'il vous faut. Basée sur une Maybach 57S, la limousine perd ici ses deux portes arrière et voit son pavillon surbaissé de 9 cm. Outre cette modification esthétique évidente, on note également un bouclier et un diffuseur arrière spécifiques intégrant deux grosses sorties d'échappement.Signalons également les jantes de 20 pouces et les feux de jour à LED.


L'habitacle conserve le luxe habituel des productions de la marque avec des équipements à ne plus savoir quoi en faire et un confort royal. Sous le capot, on retrouvera le V12 de 6 litres développant 630 chevaux et 1000 Nm de couple, couplé à une boite automatique à 5 rapports. Malgré ses 2.662 kg, le Maybach 57S Coupé pulvérise le 0 à 100 km/h en 5 secondes et pointe à 275 km/h. Malgré un tarif de 807.000 € TTC (675.000€ HT), 60 des 100 exemplaires ont déjà trouvé preneur. Il y a toutefois peu de chance de le voir dans nos contrées, mis à part du côté des palaces autour des Champs Elysées avec des plaques de Dubaï...

Mondial de Paris 2010 : Maybach 57S restylée
Publié par Antoine Arnoux le 9 octobre 2010
Source : sport-prestige



Un grand nom, devenu bien discret ces derniers temps : Maybach, l’inamovible blason très haut de gamme de Mercedes, pour qui le restylage sera presque passé inaperçu. Ressuscité de toutes pièces afin d’opposer quelque chose à BMW désormais propriétaire de Rolls Royce, l’allemand Maybach, spécialiste des limousines dans les années 20, tente de sortir la tête de l’eau.

Malgré les difficultés financières et les très faibles chiffres de vente ( à peine 200 unités en 2009, aucun en France ), la marque parvient à vivoter et à assurer une présence à quasiment tous les rendez-vous internationaux. Dont Paris, qui n’est pourtant pas la grand-messe par excellence du luxe roulant, où la 57 S restylée au printemps dernier a fait sa première apparition européenne. Où elle reçoit la palme du plus cher véhicule exposé au salon, avec un tarif débutant à 544 000 €, Bugatti ayant snobé l’événement.

Maybach 57S : le chant du cygne?

Les changements, très minces, ne parviendront sans doute pas à faire sortir Maybach de sa léthargie commerciale. Cette année, les changements se concentrent sur le bouclier avant, plus anguleux et intégrant des Leds, dans la veine de la Classe S. Ici présentée en version 57 S ( 5,70m de long, et motorisation la plus puissante ), elle bénéficie également d’un léger remaniement moteur en suivant l’évolution du V12 6 litres biturbo AMG ( passage de 612 à 630 ch ).

Portes franchies, on pénètre réellement dans un autre univers. Oublions un instant la tradition britannique Rolls Royce, Maybach propose un raffinement sans doute moins chaleureux. Ici, le dessin strict évoque une inspiration Bauhaus. Épuré et high-tech, l’habitacle fait la part belle au carbone et aux inserts en laque noire sur ce modèle. Évidemment, le moindre élément est personnalisable à l’envi. À commencer par le diffuseur de parfum d’ambiance. Qualité générale et raffinement sont d’un niveau exceptionnel : aucune faute de goût ou d’ajustage, et l’originalité trouve même discrètement sa place… au plafond, avec trois cadrans ( tachymètre, thermomètre, pendule ).

On regrette peut être le dessin trop typé Mercedes de la planche de bord, mais seul le chauffeur s’en plaindra. À l’arrière, n’importe quelle première classe de compagnie aérienne peut difficilement en revendiquer autant. Sièges individuels inclinables à l’envi, écrans et choix d’options pléthorique. On assiste aujourd’hui à un retour du sur-mesure dans le très haut de gamme, dans la veine de ce que l’on a pu connaître jusqu’à la fin des années 30 avec l’accomplissement de tous les caprices possibles et imaginables. Arrivé à un certain niveau, tout est possible. Reste à savoir si Maybach parviendra à tenir encore quelques temps. L’image ne se reconstruit pas en une décennie…


Source : sport-prestige

La calandre est mieux, comme les boucliers, m'enfin bon, je me répète, autant prendre une S Lang ....
Et puis le carbone ...

Sympa pour le boulot

Asca a écrit:

La calandre est mieux, comme les boucliers, m'enfin bon, je me répète, autant prendre une S Lang ....
Et puis le carbone ...

Dans cette version, c'est tout carbone, mais en fait l'acquéreur peut absolument tout choisir, ensuite c'est question de goût, pour moi le carbone n'est pas une matière noble, nous sommes d'accord.

Maybach : nouvelles 57 et 62 prévues pour 2012
Publié par Sylvain Charbit le 1 septembre 2010
Source : sport-prestige



La nouvelle génération de Maybach 57 et 62 ainsi que deux nouveaux modèles sont prévus dans les 2 ans. Le constructeur allemand semble en plein renouvellement de son catalogue.

Basés sur la plateforme de la nouvelle Mercedes Classe S, les quatre futurs modèles frappés du double M seront sans surprise plus performants mais également… hybrides ! Les nouvelles moutures des Maybach 57 et 62, en plus d’être équipées de l’actuel V12 6.0l biturbo revisité se dotera d’un moteur électrique d’environ 25 ch et d’un bloc thermique. Les 1000 Nm de couple seront conservés ainsi que la boîte automatique 7 rapports.Outre ces améliorations, les petites soeurs pourraient voir leur nom suivi d’un fier « Zero emission » et arriveront vraisemblablement en 2012.

La firme comptera également sur l’apparition d’une nouvelle berline ainsi qu’un cabriolet quatre portes inspiré du prototype Mercedes Ocean Drive Voir : ICI. La gamme s’étoffe donc de manière plaisante, toutefois cela sera t-il suffisant pour voir revenir Maybach vers la douce contrée des bénéfices ?

Source : sport-prestige

Maybach : plus d’informations sur le coupé 57S sauce Xenatec
Publié par Sylvain Charbit le 13 octobre 2010
Source : sport-prestige



La brillante vision de la Maybach 57S par Xenatec livre une bonne partie de ses secrets. Autant l’esthétique de la 57S d’origine était plus que controversée, autant Xenatec a mis tout le monde d’accord lors de la diffusion des premiers clichés de sa ré-interprétation.

Outre le fait que le carrossier se soit occupé de la transformation de cette berline quatre places en coupé, nous savons à présent que c’est Fredrik Burchhardt qui s’est chargé du nouveau design; le même homme qui s’est auparavant attelé au dessin du concept Maybach Exelero VOIR : ICI

A l’extérieur, les portes, pare-chocs ainsi que les ailes ont été réalisés par Xenatec, toutefois la plate-forme et les performances ne bénéficient d’aucun ajustement. En bonus, il sera possible d’adopter une teinte extérieure bicolore ou unie. Cette mouture reste malgré tout très exclusive et ne sera délivrée qu’à une poignée de clients distingués. Il faudra en outre débourser la bagatelle de 675.000 euros pour s’offrir ce généreux modèle.

Vidéo : ICI

Source : sport-prestige

Vraie Maybach ou Photoshop ??



Je dirais photoshop

Toshop ! sans hésiter

-Sur la 3/4 dos, le motif reflété à droite, devant le pare brise est le même qu'avant le pare brise à sa gauche (un groupe de 3 reflets lumineux dans l'eau.)
Le retro interieur n'apparait que décapoté.

Les portes arrières ne sont pas cohérentes, en 2 vitres.

La texture de la capote sonne faux.

-Sur la 3/4 avant, copies diverses de motif "en pierre", la texture de la capote sonne aussi faux, la teinte du parebrise ne change pas avec ou sans la capote.

Dans les deuc cas , c'est une berline toshopisée.

Maybach Cruiserio : le coupé 57 S officiellement dévoilé
Publié par Antoine Arnoux le 1 janvier 2011
Source : sport-prestige




Le tout premier exemplaire de coupé Maybach 57 a finalement vu le jour. Jusqu’à présent cantonné à la planche à dessins du carrossier Xenatec, la colossale GT baptisée Cruiserio vient d’être mis en vente en Arabie Saoudite. Ainsi commence 2011. C’est notamment chez Auto Kingdom, distributeur saoudien spécialiste du haut de gamme basé à Ryad, que Xenatec a choisi de diffuser une partie des 100 exemplaires prévus du coupé Cruiserio. Le russe ArmorTech sera le second distributeur.

La venue au monde de ce imposant coupé, sorte de CL hypertrophié basé sur la limousine Maybach 57S, était pourtant improbable. La maison allemande a d’autres choses en tête que le développement de nouveaux modèles, notamment assurer sa pérennité à moyen terme. Malgré les chiffres de vente anecdotiques du double M, il y avait une réelle demande pour ce coupé. Le carrossier indépendant Xenatec s’est donc attelé à la tâche, un peu à la manière des grands noms d’avant-guerre qui revisitaient les sommets de l’aristocratie automobile. Simplement, les Gangloff et autres Figoni & Falaschi ont aujourd’hui disparu…


Il faudra donc débourser 715 000 € pour accéder à ce monumental coupé de 5,77 m de long, reprenant la même base technique que sa cousine 4 portes. À savoir, le V12 6 litres biturbo de 612 ch bien connu sur les Mercedes S65 AMG ( dernièrement porté à 630 ch sur ces dernières ). Suffisant pour permettre aux tonnes de l’engin de croiser à 275 km/h et d’abattre le 0 à 100 km/h en tout juste 5 s.

Dessiné par Burch Fred Hardt, auteur du très extravagant concept Maybach Exelero 2005 Voir : ICI, le coupé Cruiserio vient enrichir le très fermé cercle des coupés XXL, pour l’instant uniquement occupé par la Rolls Royce Phantom Drophead Coupé. En attendant un hypothétique coupé Brooklands basé sur la Bentley Mulsanne…




Source : sport-prestige

Pu-tain ! Rien à voir avec la fadesque limo ... Rien que le bouclier avant est trop beau ! et la calandre réussie

D'autres photos en grand format

Je trouve que ça ressemble vachement à mon Clk.

L'arrière, sur les photos, me parait long C'est l'avant qui me fait craquer et les 3 compteurs/horloges au plafond.

oh pinaise la bestiole !!!
M A G N I F I Q U E !!!!!!!



La face avant est à faire triquer un aveugle !!!

Je te dis les heureux veinards qui vont cruiser avec un tel engin !

merci pour les images, j'ai toujours aimé les Maybach (un bémol pour celle qui à la console en carbonne brillant la 57s blanche, je trouve ça trop kéké tuning !)

merci

Contact Maybach Xenatec 57S : l’instant extraordinaire
Par Antoine Arnoux le 23 avril 2011
Source : sport-prestige



Tout s’est passé très vite. Trop peut être. Un mot d’un confrère, qui vient nous avertir : ne trainons pas, les essais du coupé Maybach, c’est maintenant… Et nous voilà partis en contrebas du forum Grimaldi où se déroulait Top Marques à Monaco, pour quelques tours de roues du coupé Xenatec 57S.


Une Maybach, c’est lourd. Très lourd. Et imposant aussi. Alors forcément, lorsque le coupé concocté par Xenatec reprend les cotes de la limousine 57 ( la plus petite, n’exagérons rien ), le rendu final impressionne. Tant à l’œil que sur le papier : 2,7 tonnes, pour 5,73 m de long. Il faut regarder du côté de la Rolls Royce Phantom Coupé pour rivaliser en démesure et encore, l’anglaise est plus courte de 11 cm… Et puis, on n’est pas vraiment au même niveau d’exclusivité. Le coupé Maybach signé Xenatec est avant tout né de la demande d’une toute petite frange de la clientèle habituelle du segment.


On en revient presque à une époque où la gentry se permettait de faire carrosser des châssis à la demande, à son image. Sauf qu’au lieu des légendaires carrossiers des années 30, on parle d’une officine allemande méconnue : Xenatec. Cette petite équipe a du revoir la structure de la la limousine, en reculant le montant B d’une vingtaine de centimètres, en inclinant davantage les montants A et C. Les panneaux latéraux et les portes ont également du être repensés. Le tour de force mérite d’être souligné, l’ajustage des éléments de carrosserie reste d’une qualité exceptionnelle.


La ligne de pavillon, plus basse, rappelle étrangement une Mercedes CL, cousine éloignée. En plus grandiose bien sûr. Résultat, les dimensions pharaoniques sont encore mises en valeur par ce pavillon plus bas, et ce profil élancé presque caricatural. Pour un peu, le coupé semble plus réussi que la limousine un tantinet pataude. Lorsqu’il s’avance pour sortir de son espace de stationnement, on se demande à quel moment on en verra le bout. Voilà que la colossale porte


En route…
L’expérience est peu commune. D’abord, le sentiment d’avoir entre les mains 10 % de la production totale du modèle est particulier ( 10 unités ont été produites à ce jour ). On oublie vite le tarif, d’environ 680 000 €, prêtant surtout attention à l’environnement monégasque encombré. Quelques tours de roues urbains ne seront pourtant pas un gros problème : les autres usagers s’écartent d’eux-mêmes pour voir évoluer le titan tudesque, peut être en proie à une crainte indicible. Peu de personnes identifient la marque au double M, alors l’inconnu inspire méfiance. L’aura n’est pas la même qu’avec une Rolls Royce, le coupé Maybach joue dans un registre plus inquiétant…


Après une manœuvre délicate pour négocier un simple demi-tour, le coupé Maybach s’élance en douceur, les 1000 Nm du V12 6 litres biturbo gommant ses plus de 2700 kg. Pas un bruit ne filtre dans l’habitacle à la finition somptuaire, inchangée par rapport à la limousine. Coupés du monde dans un environnement typé art déco ( une référence à l’âge d’or de Maybach, sensible avec les inserts en laque cannelés ), on contemple le macaron aux accents Bauhaus flotter loin, très loin au bout du capot.


Aux places arrière, les passagers bénéficient des mêmes raffinements que sur les modèles « officiels » à savoir, le trio de compteurs au plafond, des sièges réglables sur tous les plans et des matériaux de premier choix. Entre peausseries fines, alcantara et boiseries massives, quelques indices trahissent pourtant ses origines de Classe S ( volant et instrumentation en sont dérivés ). Dommage. Mais le degré d’exception et le décalage de proposer un « coupé-limousine » prend le dessus…


Plutôt que de force tranquille, la brutalité du V12 Mercedes AMG penche pour la férocité anoblie.
Le test du tunnel, en l’occurrence celui emprunté par le Grand Prix, permet de prendre la mesure du décalage de l’objet : vitre légèrement ouverte, plein gaz, le vaisseau se cabre légèrement. Le grondement métallique du V12 biturbo emplit l’espace, accompagnant une poussée brutale mais ô combien feutrée. Plutôt que de force tranquille, parlons de férocité anoblie.

Du haut de ses 630 ch atteints à 4800 trs/mn, le V12 emprunté à la S65 AMG assène un brutal coup de reins très tôt, dès 2000 tours, qui ne s’arrêtera qu’à la zone rouge. Impossible de le vérifier, Maybach évoque un 0 à 100 km/h en 4,9 s. En perdant deux portes, le coupé Xenatec reste théoriquement à la même valeur. Derrière les épais double vitrages, impossible de déceler l’étendue de la furie mécanique. De l’extérieur, les têtes retournées en disent long sur l’effet produit par les 12 canons de Navaronne.


On joue dans des sphères où les points de comparaison sont rares. Le coupé Xenatec se présente comme une Maybach 57 destinée à être conduite plutôt qu’à mener son propriétaire. Un peu comme une Bentley, peut être. Dommage simplement de devoir s’en remettre à la boite automatique 5 rapports, sans commande séquentielle. Parfois, on aimerait prendre un peu plus la main sur ce moteur. On peinerait à parler de dynamisme mais son équilibre étonne, pour peu que le bref trajet nous en ait laissé un aperçu suffisamment parlant. La légère plongée au freinage, pas très mordant d’ailleurs, rappelle qu’il est hors de question de laisser parler la poudre sans anticipation.


Et quand bien même son châssis d’ancienne Classe S est dépassé à l’heure actuelle, il assure parfaitement son rôle pour la croisière au long cours ou la parade cérémonieuse. À ce niveau, on ne peut guère évoquer une quelconque recherche d’efficacité. Parlons plutôt d’attitude, en somme…


Les plus +
- Performances surréalistes
- V12 AMG tonitruant
- Raffinement et degré d’exclusivité

Les moins -
- Image floue
- Quelques détails d’origine Mercedes
- Pas de commandes de boite au volant

Caractéristiques techniques :
Prix du modèle essayé : 575 000 € HT ( France : environ 680 000 € )
Moteur : V12 biturbo longitudinal avant à 60°, 36 soupapes
Distribution : 2 x 2 ACT
Cylindrée : 5980 cc
Alésage x course ( mm ) : 82,6 x 93
Puissance maxi : 630 ch à 4800 trs/mn
Couple maxi : 1000 Nm de 2000 à 4000 trs/mn
Transmission : propulsion, boite automatique 5 rapports
Dimensions L x l x H ( mm ) : 5734 x 2151 x 1497
Empattement ( mm ) : 3390
Poids : 2735 kg
Pneumatiques : 275/45 R20
Performances : 0 à 100 km/h : 4,9 s
vitesse maxi : 275 km/h
consommation cycle mixte ( l/100 km ) : 15,8 ( annoncé )

Elle est chouette, mais bien trop chère!

Je trouve l'avant réussi, mais pour le reste, le charme n'est pas à la hauteur du prix, je vois une limousine dont on a soudé les portes arrières et l'intérieur fait "classe S toutes options" et ne dégage pas une autre personnalité que celle de Daimler-Benz.

Je préfère l'Exelero

Xenatec en faillite, pas de repreneurs en vue
Par Patrick Garcia Le 07 Novembre 2011
Source : Caradisiac



Vous connaissez la Maybach 57S Coupé vue notamment à Top Marques en début d'année. Xenatec en était le fabricant. Si à l'époque, les responsables se montraient résolument confiants en avançant des chiffres de vente plutôt flatteurs, il semble que dans la réalité, tout n'allait pas si bien. Xenatec était en fait en faillite et depuis, personne n'a montré d'intérêt à reprendre l'enseigne qui devrait donc disparaître.

Ces sociétés qui se créent sur les cendres d'autres entreprises en liquidation ont souvent beaucoup de mal à faire mieux. L'histoire de Xenatec ressemble à cela et même si leurs projets et notamment cette Maybach 57S Coupé a réellement attiré les projecteurs (dans le bon sens du terme) sur eux, cela n'a pas suffit à sauver une entreprise en quasi faillite.
Sur les 100 prévus, huit exemplaires ont bien été produits et livrés mais suite à des choix hasardeux de management, des soucis avec des fournisseurs et des coûts de production pharaoniques, Xenatec a été placé en liquidation depuis plusieurs mois. 3 modèles sont encore en construction et cherchent des acquéreurs.

Si d'ici fin novembre, aucun repreneur ne se montre Xenatec qui est aussi spécialisée dans les voitures blindées sera complètement fermée. Xenatec emploie 21 personnes.

Bob a écrit:

Xenatec en faillite, pas de repreneurs en vue
Par Patrick Garcia Le 07 Novembre 2011
Source : Caradisiac


Si d'ici fin novembre, aucun repreneur ne se montre Xenatec qui est aussi spécialisée dans les voitures blindées sera complètement fermée. Xenatec emploie 21 personnes.

Lorsqu'on a pas "d'image", même avec de bonnes idées, on ne pète pas plus haut que son cul ... Beaucoup d'entreprises l'apprennent à leurs dépends ..

Pour avoir une image, il faut bien se lancer Avant de lancer la Muira, Lamborghini n'était qu'un constructeur de tracteurs

Citation :

Sur les 100 prévus, huit exemplaires ont bien été produits et livrés

Bob a écrit:

La SLR ressemble à un jouet à côté de ce paquebot

Pendant une seconde j'ai même cru que c'était un SLK

pour avoir eu l'occasion d'en voir un en réel , je peux dire qu'il est vraiment beaux ce coupé !!