Formule 1 2011

quelques breves du paddock


Vidéo - Un fan gagne le droit de piloter une McLaren F1

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Raikkonen et Williams : on en parle de plus en plus...



Williams essaye de convaincre une grande banque du Qatar

Selon le journal finlandais Ilta-Sanomat, Kimi Raikkonen serait sur le point de signer avec l’écurie Williams. Ce journal affirme détenir cette information de la part de l’ancien pilote de F1 japonais Taki Inoue qui aurait encore de nombreux contacts en F1.

Il y a quelques semaines, ce journal avait affirmé que la signature de Kimi Raikkonen avec l’équipe Williams était conditionnée à la signature par cette équipe d’un contrat de partenariat financier avec la Banque Nationale du Qatar (Qatar National Bank).

"Ces jours-ci, Frank Williams s’est rendu au Qatar et en Arabie Saoudite," affirme le journaliste Livio Oricchio dans les colonnes du O Estado.

Kimi Raikkonen avait remporté le titre mondial en 2007, mais il avait quitté la F1 et la Scuderia Ferrari à la fin de l’année 2009 pour se lancer dans une carrière de pilote de rallye en WRC. Cette reconversion ne lui a probablement pas apporté les satisfactions qu’il en escomptait.

Ecrit le vendredi 21 octobre 2011 à 17:27, par Pierre Van Vliet


La mort dans leur contrat

Curieux hasards de calendrier... Alors que nous préparons le prochain numéro de F1i Magazine , nous avons souhaité rendre hommage dans le cahier F1i Classic au grand pilote suisse Jo Siffert, vainqueur de Grands Prix et redoutable spécialiste des épreuves d’endurance dans les années soixante.

Celui qu’on appelait familièrement "Seppi" était un sacré personnage, un champion formé à la dure comme le raconte très bien le superbe DVD qui lui est consacré (voir www.josiffert.com). Siffert s’est tué il y a quarante ans exactement, lors d’un meeting hors-championnat F1 en fin de saison à Brands Hatch, le circuit qui l’avait vu triompher pour la première fois dans un Grand Prix en 1968 au volant de la Lotus 49 privée engagée par Rob Walker. A propos de DVD, c’est cette semaine que sort en France le magnifique coffret proposé par Studio Canal comprenant le DVD du film "Senna" et un très beau livre rappelant la carrière du pilote brésilien telle qu’elle a été revisitée par le film, avec une intéressante iconographie et des témoignages souvent inédits : à moins de 40 euros, c’est un must pour les fêtes.

Toujours cette semaine, j’ai revu le film sur grand écran à l’occasion de sa projection au Festival International de Gand, en Belgique, en compagnie de son auteur Manish Pandey. Cela doit faire la cinquantième fois qu’on le visionne ensemble et pourtant l’émotion est toujours aussi forte. Les images qui me touchent le plus sont celles d’Ayrton sur la grille de départ à Imola, non casqué pour la première fois de sa carrière, le visage ravagé par le doute... La veille, la mort de Roland Ratzenberger avait choqué le paddock tout entier car cela faisait alors douze ans - depuis les décès de Gilles Villeneuve puis de Riccardo Paletti au printemps 1982 - qu’un pilote n’avait plus perdu la vie pendant un week-end de Grand Prix. Entre-temps, nous avions encore perdu Elio de Angelis (en essais privés au Ricard en 1986) ou encore Stefan Bellof, Manfred Winkelhock et Rolf Stommelen dans des courses d’endurance, mais l’impact de ces disparitions n’était pas comparable. Ce samedi-là, à Imola, c’est toute une génération qui fut confrontée pour la première fois à la mort d’un des leurs sur un circuit. Senna parut le plus concerné, se rendant sur les lieux du drame et discutant longuement avec le Docteur Watkins, comme le relate très bien le film. Il ne souhaitait pas courir le lendemain mais il ne pouvait pas renoncer : trop de responsabilités, trop d’obligations contractuelles, trop de contraintes commerciales l’en empêchaient. Pourtant, pour avoir partagé le dîner de son premier cercle brésilien la veille de sa mort, je suis convaincu qu’Ayrton se posait des questions fondamentales et que l’émotion provoquée par le décès de Ratzenberger l’avait submergé. On connaît la suite...

Alors que cette étrange semaine se termine, je me souviens bien sûr qu’elle avait commencé par une terrible nouvelle dans la nuit de dimanche à lundi, celle de la mort de Dan Wheldon lors de la finale du championnat IndyCar à Las Vegas. Vous avez tous vu les images du carnage sur le speedway via YouTube. Il se fait que je devais commenter cette course pour notre programme habituel du lundi soir sur la chaîne belge Be TV. Nous avons préféré y renoncer en consacrant une émission spéciale à ce tragique événement, en plateau avec mon compère Phillip van Osten, en revoyant l’accident sous toutes les coutures, depuis les caméras embarquées des protagonistes... Lancer 34 voitures identiques à 360 km/h de moyenne sur un ovale d’un mile et demi avait sans doute quelque chose de risqué, mais c’est toujours un peu facile après coup de refaire le match avec des "yaka" et des "on l’avait dit". Par respect pour Wheldon, nous avons écourté notre prestation au minimum informatif avant de rediffuser la dernière heure des 500 Miles d’Indianapolis, l’édition du centenaire en mai dernier, remportée in extremis par le pilote britannique. C’est ainsi qu’on veut se souvenir de Dan : sur "victory lane" à Indy, avec la bouteille de lait et le Borg Warner Trophy.

Même si les époques sont différentes, la mort fait partie intégrante de la vie d’un pilote de course. Du temps de Siffert, ils tombaient comme des mouches chaque week-end et cela ne provoquait pas de reproche, seulement une grande tristesse. Quand Ayrton est parti, la prise de conscience a été telle que la sécurité en F1 fut ensuite grandement améliorée, au point que plus aucun pilote ne se soit tué dans un Grand Prix depuis. Mais le risque zéro n’existera jamais et il faut se préparer au jour où le destin frappera aveuglément, comme il l’a fait pour le pauvre Wheldon dimanche dernier à Las Vegas.

Certes, se tuer en course n’est plus acceptable et toutes les mesures doivent être prises - y compris et surtout en IndyCar - pour protéger autant que faire se peut les acteurs et les spectateurs du sport. Il n’empêche que l’épée de Damocles restera toujours en équilibre au-dessus des casques, malgré des risques infiniment plus faibles qu’à l’incroyable époque où Jo Siffert nous a quittés il y a quarante ans. Cette année-là, on avait perdu Ignazio Giunti et Pedro Rodriguez aussi, et l’année d’avant Bruce McLaren, Piers Courage et Jochen Rindt en l’espace de quelques semaines. Réjouissons-nous alors du fait que l’exception est devenue la règle, avec une pensée émue pour Dan Wheldon.

En attendant le GP de dinde, heuuuu d'inde pardon, le GP de new-york se confirme




La Formule 1 va dévoiler ce mardi à New York ce que sera réellement ce nouveau Grand Prix prévu pour 2013. C’est désormais officiel, le gouverneur du New Jersey, Chris Christie, va annoncer l’accord lors d’une conférence de presse à Weehawken à 20h (heure française).

« Cela va être un boom économique pour toute cette région », a déclaré Felix Roque, le maire de West New York, à l’agence Reuters. « Alors que les politiques et la population parlent de création d’emplois, le gouverneur a appuyé sur la pédale et voilà. C’est le top de la course automobile, c’est incroyable ! ».

La course en elle-même ne se déroulera pas en plein Manhattan mais sur l’autre rive de la rivière Hudson, avec les buildings de New York en toile de fond. « Il offrira un parcours très difficile », a déjà dévoilé Joe DeMarco, le procureur de West New York. « Ils le comparent à Spa en Belgique mais, il aura l’aura de Monaco ». DeMarco a également indiqué que la course aurait lieu sur une autoroute à 4 voies, dont 2 voies dans chaque direction. La course ainsi proposée offrira un accès facile aux résidents de New York et aux visiteurs séjournant dans les hôtels du centre.

« Il a été envisagé que ce Grand Prix se tiendrait sur une durée de dix ans », a poursuivi DeMarco. « Mais il y a des options qui dépendent du succès de l’épreuve. J’espère que ce sera un événement que nous accueillerons sur le long terme et qu’il sera bien accueilli par les résidents et la communauté ».

La Formule 1 reviendra déjà aux Etats-Unis la saison prochaine avec un Grand Prix à Austin, dans l’Etat du Texas, le 18 novembre 2012. Mais la course du New Jersey, en 2013, ne devrait pas se dérouler à la même période puisqu’il est prévu qu’elle soit jumelée avec le Grand Prix du Canada au mois de juin.


Un mélange de monaco et de SPA !!!! on de mande qu'à voir

Ci dessous, le tracé du GP d'Amérique, ne pas confondre avec le GP des états-unis qui aura lieu à Austin

Voici les premières photos du circuit du GP d'inde, que je ne verrai pas malheureusement ni les essais



Vous remarquerz que les écuries sont déja sur le pied d'oeuvre




Le safety car




La parade

Et déja au premier virage un accrochage, on est obliger de nettoyer la piste.





Tiens sans être racho, une drôle de scène



La course est relancé...





Les mécanos sont près dans les stands

Bon un peu de sérieux maintenant;







le héros national



je peux pas m'en empecher, les premeirs supporters




A mon avis ça va planer dans les paddocks

Ca doit plaire à Bernie, moi pas






Chut secret défanse le nouveau volant d'alonso

Un petit tour hors circuit

Et quand je pense que les télé opérators orange Neuf et autre ont leur bureau ici

Merci pour les dernières photos Eric

Tout ce fric dilapidé dans un pays où tant de gens meurent de faim, qu'elle indécence
A quand un GP au Sahel ???

Comme vous l'avez vu ce matin, je vous ai montré les photos du GP D'nde en préparatif ainsi que la vie à l'extérieur,

aujourd'hui, la petite armada est sur le circuit .