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Cordialement,
Asca.
Univers Mercedes
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Depuis la révolution du Jasmin en Tunisie, à la guerre en Libye, au mouvements de contestation toujours d’actualité en Syrie passant par la chute de Moubarek en Égypte dans le conflit israélo-palestinien, la chaîne d’information continue qatarie Al Jazeera pratique un journalisme ouvertement mensongé.
Quelles sont ses méthodes, quelles sont ses limites ? La chaîne choisit-elle politiquement ses guerres ? Fait-elle le journalisme en son nom propre ? Tant d’interrogations qui restent sans aucun élément de réponse. L’Algérie, pour sa part n’a jamais été épargnée, voire souvent ciblée. Notre pays a été souvent un sujet de longs débats au sein de cette même chaîne.
À l’heure actuelle, à l’approche de ce 17 septembre, dont on ne cesse de dire beaucoup de choses, Al Jazeera est en train, selon des sources bien informées, à mettre de grands moyens pour un tournage digne des films hollywoodiens.
Selon nos sources, la chaine qatarie «tient vraiment à réussir son scoop d’informer en temps réel » sur ce qui se passera, selon ses envoyés spéciaux, en ce 17 en Algérie. Pour ce faire, une équipe technique, des réalisateurs et bien sûr des « acteurs» ont été dépêchés à Oujda dans le royaume marocain.
Le choix d’une telle ville n’est pas fortuit sachant la proximité du langage et du teint entre les Marocains et les Algériens des frontières de l’Ouest. De véritables mises en scènes et simulations de manifestations sont au menu des génies d’Al Jazeera. Ils veulent coûte que coûte montrer que l’Algérie et sur un brasier en diffusant des images d’émeutes généralisées. Il n’y a pas de fumée sans feu. Assurément les Qataris ne sont pas les seuls dans le coup. L’on imagine bien évidemment la générosité des services secrets de sa majesté le roi qui, au lieu de prendre une position ferme quant à toutes les questions internationales, font dans les coups bas comme à leurs habitudes.
Il est connu du grand public, et les spécialistes des médias n’hésitent pas parfois à le dire, Al Jazeera est loin d’être neutre dans son traitement de l’information rapportée. Et que souvent, cette chaîne semble même se départir de la neutralité qui doit être la sienne. Envers l’Algérie, cette chaîne n’est pas à sa première bavure. En janvier 2011, durant les émeutes liées à la vie chère, elle a essayé d’attiser le feu par des méthodes peu orthodoxes, à l’image de Ali Belhadj qui se croyait revenir à 1988 en tentant de récupérer la révolte des jeunes. Récemment, une présentatrice d’un journal télévisé, parlant des pays limitrophes avec l’Algérie a omis de mentionner le nom du plus grands pays de l’Afrique qui n’était pas mentionné sur la carte géographique des pays de l’Afrique du Nord. D’autre part, Al Jazeera, n’a par contre jamais été intéressée lorsqu’il s’agit de la répression au Bahrein.
Elle ne fait nulle mention de la révolte des femmes saoudiennes ni des problèmes au Koweit encore moins aux Emirats- Arabes-Unis. Faudrait-t-il également rappeler que cette même chaîne a toujours servi de tribune pour les islamistes dont l’Aqmi. S’agissant des massacres commis au quotidien par ses « amis » du Maroc au Sahara Occidental, la chaîne semble manquer de sources. Le 8 novembre 2010, à Gdeim Izeik, l’histoire témoignera que ce jour-là, les Marocains ont tenté un génocide. Curieuse coïncidence : un mois auparavant, les activités du bureau d’Al Jazeera à Rabat ont été suspendues et les accréditations du personnel de la chaîne qatarie retirées, vendredi 29 octobre, par les autorités marocaines.
Une décision justifiée par le ministère de la Communication du royaume chérifien «suite à de multiples manquements aux règles du journalisme sérieux et responsable». La chaîne qatarie est en train de se racheter auprès du Maroc… H. F
Y aura-t-il marche ou est-ce un leurre ? La plupart des citoyens ne le savent pas, l’information étant «réservée» aux seuls internautes et accrocs de Facebook, même si l’information a été répercutée par certains médias nationaux. Et c’est justement sur la toile que se déroule le match, avec une série de commentaires qui dénoncent «des visées de déstabilisation de la société algérienne et de ses institutions». Tour d’horizon.
Qui est derrière cet appel anonyme à la marche populaire du 17 septembre et quel en est l'objectif majeur ?» C'est la question au centre de tous les conciliabules et discussions. Tout est parti d’un appel lancé avec la bénédiction de Bernard-Henri Lévy, précédé par une sulfureuse réputation bâtie en Libye, où il était d’ailleurs présent jeudi aux côtés de Nicolas Sarkozy. Bernard-Henri Levy a sous-traité avec un blogueur pour tisser des contacts sur la toile afin de trouver des relais pour lancer cette opération du 17 septembre.
Des blogueurs algériens ont confirmé ces contacts, tout en niant y avoir donné suite. Aussitôt, la blogosphère s’est enflammée, avec des pages Facebook qui dénoncent cette tentative. L’affaire a pris une tournure plus sérieuse avec la réaction du ministre de l’Intérieur, Daho Ould Kablia, qui a déclaré, dans les colonnes de notre confrère An Nahar, que «la date choisie coïncide avec celle de la signature des accords de Camp David entre l'Egypte et Israël, qui a eu lieu le 17 septembre 1978 et les massacres des camps palestiniens de Sabra et Chatila ont été perpétrés les 16 et 17 septembre 1982».
Néanmoins, le ministre de l’Intérieur est optimiste et rassurant quant à la non-tenue de cette marche et demeure confiant en affirmant que «rien ne se passera», arguant «une enquête menée par les autorités prouvant qu'il y a réticence générale de la population quant à ces appels malveillants».
La qualité de l’intervenant et la teneur de ses propos ont donné une nouvelle dimension à l’affaire. Il est donc question «d’une grossière manipulation de la part de groupes inavoués à la solde de lobbies étrangers et animés par des intentions malveillantes de disloquer le peuple algérien et porter ainsi, atteinte à son unité». Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales a affirmé que «si c'était des gens de l'intérieur, nous les aurions démasqués et arrêtés, mais les indices nous orientent vers des parties étrangères en relation avec l'entité sioniste».
Dans la même foulée, la présidente du Parti des travailleurs, Mme Louisa Hanoune, pointe également du doigt des «lobbies qui veulent servir les intérêts étrangers et qui oeuvrent pour diviser le pays». Si le reste da la classe politique n’a pas réagi, les commentaires font rage sur Facebook. Des pages «Touche pas à mon Algérie» et d’autres dans la même veine dénoncent l’appel, que le militant Pierre Stamboul avait jugé dans nos colonnes comme «une anticipation pour faire valoir des droits français sur les richesses de l’Algérie».
«Les exemples de la Tunisie, la Libye, l’Egypte nous ont ouvert les yeux», écrit un internaute. «Vous ne vous attaquez qu'à des pays arabes pour foutre la m..., et non la régler ! Le chaos qui règne en Tunisie, on n'en veut pas ici !!! Le gouvernement n'est pas parfait, certes, mais ce que les gens ne voient pas c'est qu'ici on est le seul pays où la santé est gratuite, les logements sociaux aussi, le prix du pain,du lait géré par l'Etat... Laissez ce pays meurtri par la décennie noire, ce pays jeune (50 ans indépendance) tranquille et allez vous occuper du bonheur démocratie (si cela est votre réel but) d'autres pays et non du plus grand pays africain. Les Algériens ne sont pas dupes, laissez tomber. Laissez-nous en prospérité et régler nos problèmes nous-mêmes.»
«Je vous plains, pauvres gens, vous êtes manipulés jusqu’à l’os. Pourquoi voulez-vous vous révolter ? Et contre qui ?? Est-ce que vous avez réfléchi à ce que vous aurez après ? On vous a promis quoi ? La cité platonique, richesse et prestige ? Si Dieu lui-même qui a crée la pauvreté et la richesse le bien et le mal... et pleins de différences par sa sagesse, il pouvait bien nous faire égaux. Croyez-vous qu’en Europe ou en Amérique il n y a pas de chômage,de pauvreté, de malheur, de corruption, et encore pire que nous, où des partis politiques qui se battent pour le pouvoir ? Pourquoi leurs peuples ne se révoltent pas ?»
Certains internautes, tout en dénonçant avec véhémence la classse politique, la mauvaise gestion, la corruption, rejettent avec la même virulence cet appel. Ceci dit, la rue algérienne connaît une certaine effervescence à la veille de cette journée du 17 septembre.
Alors que certains nous ont déclaré envisager de s'enfermer chez eux, en interdisant à leur progéniture de sortir, d'autres sont attentifs à tout mouvement pouvant survenir ce jour. Des associations ont fait des appels à la vigilance alors dans que les mosquées les prêches gravitaient autour de cet événement. «Nous n'avons pas d'autres pays et la foi commence par le patriotisme et l'amour de la patrie», ont souligné en substance des imams lors de leurs prêches de la prière du vendredi.
Bien que les appréhensions soient partagées par une partie de la population, contrairement à d'autres qui n'y voient qu'un «leurre», il n’en demeure pas moins que les forces de sécurité, tous corps confondus, et à dessein de maintenir l'ordre, ont mobilisé un nombre important d'éléments qui se sont déployés autour et à l'intérieur des villes. Un déploiement dissuasif visant à assurer la sécurité des Algériens. La vigilance est de mise, étant donné les évènements connus dans plusieurs pays arabes.
Le scénario concocté pour la Libye est-il lancé pour l’Algérie ? C’est la question qui se pose au regard d’un certain nombre de faits et de déclarations dangereuses jamais démenties.
Il y a d’abord la confidence faite à Abdeldjelil par Sarkozy (dans un an l’Algérie, dans trois l’Iran), et les frémissements dans la blogosphère dont on sait qu’elle a joué un rôle stratégique dans la déstabilisation de la Tunisie, de l’Egypte, et actuellement de la Syrie. La date est choisie, celle du 17 septembre en cours, sous l’appellation de la «journée de la colère».
Un choix applaudi par ce sombre et trouble personnage qu’est Bernard-Henri Lévy, qui, dans un entretien, publié sur un site internet, se félicite qu’elle coïncide avec l’entrée, en Algérie, de Napoléon III. L’intention est claire, avec des relents colonisateurs, quand on sait que Napoléon n’était pas venu, en Algérie, pour une visite de courtoisie.
Le journaliste Daniel R. relate, dans un article publié dans le magasine Histoire en 1991, que Napoléon III est entré en Algérie le 17 septembre 1760, et qu’il rêvait de créer un Etat juif s’étalant d’Alger à Bagdad, sous un protectorat français. Ce qui implique la disparition de la nation algérienne. Bernard-Henri Lévy avait, rappelle-t-on, fait le déplacement, il y a quelques mois, à Benghazi, pour soutenir les «insurgés» libyens contre Mouammar El Kadhafi.
Il avait, sans titre officiel ni mandat, apparu comme le conducteur de la campagne de déstabilisation qui a entraîné la chute de Kadhafi et le basculement de la Libye dans l’inconnu. On se rappelle que même le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, n’était pas briéfé. Dépassé par les événements, il avait appris par des journalistes, à Bruxelles, le degré de l’implication de son pays sur le terrain.
Il était patent alors qu’une diplomatie parallèle était en pleine manoeuvre. Les partisans libyens d’El Kadhafi avaient tenté d’utiliser le fait que Bernard-Henri Lévy soit de confession juive pour tenter de discréditer les «insurgés» libyens. La communication de Kadhafi ne pouvait rien contre la formidable guerre médiatique lancée contre lui, par les grands médias internationaux et par les chaînes satellitaires. Bernard-Henri Levy, qui a été le porte-parole et l’ambassadeur des «insurgés», a parfaitement rempli sa mission. Et la tentative de mettre en avant sa judéité était maladroite, quand lui-même revendique par ailleurs son statut d’agent spécial au service d’Israël.
Le philosophe Bernard-Henri Lévy souhaiterait, peut-être, venir en Algérie dans les mêmes conditions que son déplacement à Benghazi, à savoir sur un fond de conflit qui menacerait la stabilité du pays.
En tout cas, ses déclarations et son intérêt malsain pour notre pays, cette ingérence inacceptable même de la part d’un personnage qui a une sorte d’immunité induite par son statut de chargé de mission, sont préoccupants.
Pour Bernard-Henri Lévy, juif né en Algérie, à Beni Saf, le 5 novembre 1948, Ahmed El Bani, porte-parole du «ministère» de la Défense du CNT libyen, a apporté implicitement son soutien à la «journée de colère» du 17 septembre, dans une déclaration faite sur une chaîne de télévision satellitaire. Le scénario sentant clairement la manipulation est reconnu par d’autres détails, ajoutés à ce qui a précédé. En effet, des appels de «djihadistes» ont été diffusés dans des sites comme «shamikh» et «tahadi» pour le ralliement à cette journée qui se veut une «révolution» en Algérie.
Les deux sites “djihadistes» cités ont un point commun, celui d’avoir publié des messages électroniques de «djihadistes», se félicitant du double attentat suicide ayant ciblé l’académie interarmes de Cherchell et les passants, au cours du mois sacré de Ramadhan dernier. Les internautes «djihadistes»,auteurs de cet appel sur les deux sites électroniques, sont égyptiens, tunisiens, marocains et libyens, est-il relevé. Une certaine coordination semble avoir lieu entre Bernard-Henri Lévy, qui tente de se rapprocher des auteurs de l’appel, et les «djihadistes» qui veulent que le même sort réservé à la Libye soit imposé à l’Algérie.
Une certaine coordination semble avoir lieu entre Bernard-Henri Lévy, qui tente de se rapprocher des auteurs de l’appel, et les «djihadistes» qui veulent que le même sort réservé à la Libye soit imposé à l’Algérie.[/b]
J'espère qu'un jour ce connard sera condamné ou au moins exécuté
Aucunes influences, c'est juste que ta phrase telle que formulée : " J'espère qu'un jour ce connard sera condamné ou au moins exécuté" est bizarre je l'aurai plutôt formulé ainsi : J'espère qu'un jour ce connard sera exécuté ou au moins condamné... simple question de sémantique le "au moins" précédant la peine la plus légère
Aucunes influences, c'est juste que ta phrase telle que formulée : " J'espère qu'un jour ce connard sera condamné ou au moins exécuté" est bizarre je l'aurai plutôt formulé ainsi : J'espère qu'un jour ce connard sera exécuté ou au moins condamné... simple question de sémantique le "au moins" précédant la peine la plus légère
Bien sûr j'ma trompé, mais quand même: Jusque "dans ces cas là" notre logique de justice ne s'applique pas forcement.
Asca
Sujet: Re: [Info] L'Algerie .... Mar 4 Oct 2011 - 5:52
Les intempéries font 10 morts dans le Nord de l'Algérie
Au moins 10 personnes ont été retrouvées mortes et plusieurs autres ont été blessées à la suite de violents orages accompagnés de pluies diluviennes qui ont causé des inondations dans certaines parties du nord de l’Algérie tout au long du week-end.
Les plus gros dégâts ont été signalés dans la province d’El Bayadh ou quasiment toutes les personnes décédées ont été repêchées. Des centaines d’habitations ont été gravement endommagées, laissant des familles sans abri.
Les autorités ont également signalé que des ponts se sont effondrés.
Le scénario concocté pour la Libye est-il lancé pour l’Algérie ? C’est la question qui se pose au regard d’un certain nombre de faits et de déclarations dangereuses jamais démenties.
Il y a d’abord la confidence faite à Abdeldjelil par Sarkozy (dans un an l’Algérie, dans trois l’Iran), et les frémissements dans la blogosphère dont on sait qu’elle a joué un rôle stratégique dans la déstabilisation de la Tunisie, de l’Egypte, et actuellement de la Syrie. La date est choisie, celle du 17 septembre en cours, sous l’appellation de la «journée de la colère».
Un choix applaudi par ce sombre et trouble personnage qu’est Bernard-Henri Lévy, qui, dans un entretien, publié sur un site internet, se félicite qu’elle coïncide avec l’entrée, en Algérie, de Napoléon III. L’intention est claire, avec des relents colonisateurs, quand on sait que Napoléon n’était pas venu, en Algérie, pour une visite de courtoisie.
Le journaliste Daniel R. relate, dans un article publié dans le magasine Histoire en 1991, que Napoléon III est entré en Algérie le 17 septembre 1760, et qu’il rêvait de créer un Etat juif s’étalant d’Alger à Bagdad, sous un protectorat français. Ce qui implique la disparition de la nation algérienne. Bernard-Henri Lévy avait, rappelle-t-on, fait le déplacement, il y a quelques mois, à Benghazi, pour soutenir les «insurgés» libyens contre Mouammar El Kadhafi.
Il avait, sans titre officiel ni mandat, apparu comme le conducteur de la campagne de déstabilisation qui a entraîné la chute de Kadhafi et le basculement de la Libye dans l’inconnu. On se rappelle que même le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, n’était pas briéfé. Dépassé par les événements, il avait appris par des journalistes, à Bruxelles, le degré de l’implication de son pays sur le terrain.
Il était patent alors qu’une diplomatie parallèle était en pleine manoeuvre. Les partisans libyens d’El Kadhafi avaient tenté d’utiliser le fait que Bernard-Henri Lévy soit de confession juive pour tenter de discréditer les «insurgés» libyens. La communication de Kadhafi ne pouvait rien contre la formidable guerre médiatique lancée contre lui, par les grands médias internationaux et par les chaînes satellitaires. Bernard-Henri Levy, qui a été le porte-parole et l’ambassadeur des «insurgés», a parfaitement rempli sa mission. Et la tentative de mettre en avant sa judéité était maladroite, quand lui-même revendique par ailleurs son statut d’agent spécial au service d’Israël.
Le philosophe Bernard-Henri Lévy souhaiterait, peut-être, venir en Algérie dans les mêmes conditions que son déplacement à Benghazi, à savoir sur un fond de conflit qui menacerait la stabilité du pays.
En tout cas, ses déclarations et son intérêt malsain pour notre pays, cette ingérence inacceptable même de la part d’un personnage qui a une sorte d’immunité induite par son statut de chargé de mission, sont préoccupants.
Pour Bernard-Henri Lévy, juif né en Algérie, à Beni Saf, le 5 novembre 1948, Ahmed El Bani, porte-parole du «ministère» de la Défense du CNT libyen, a apporté implicitement son soutien à la «journée de colère» du 17 septembre, dans une déclaration faite sur une chaîne de télévision satellitaire. Le scénario sentant clairement la manipulation est reconnu par d’autres détails, ajoutés à ce qui a précédé. En effet, des appels de «djihadistes» ont été diffusés dans des sites comme «shamikh» et «tahadi» pour le ralliement à cette journée qui se veut une «révolution» en Algérie.
Les deux sites “djihadistes» cités ont un point commun, celui d’avoir publié des messages électroniques de «djihadistes», se félicitant du double attentat suicide ayant ciblé l’académie interarmes de Cherchell et les passants, au cours du mois sacré de Ramadhan dernier. Les internautes «djihadistes»,auteurs de cet appel sur les deux sites électroniques, sont égyptiens, tunisiens, marocains et libyens, est-il relevé. Une certaine coordination semble avoir lieu entre Bernard-Henri Lévy, qui tente de se rapprocher des auteurs de l’appel, et les «djihadistes» qui veulent que le même sort réservé à la Libye soit imposé à l’Algérie.
Par Mounir Abi
C'est le Round 2 ... depuis quelques semaines, entre les "terroristes" sur place, et la percée via le Mali, par le Sud ....
Je repense à quelques-uns qui en 2011 voulaient passer des vacances en rasso au Maroc en 2013-ou 2014, un beau pays assurément et j'avais déjà écris, à propos des événements futurs que je n'invente pas, mais dont je lis les possibles venues par le net, que la possible instabilité de ce coin serait surement un handicap à ce projet, même si déjà j'avais pas une thune à y mettre
Je pense utile de surveiller ça de loin, sait-on jamais ... Des fois que ça échoue
BHL Botul détourne l’argent du contribuable pour rénover son palais ! Par rikiai Le 08/01/2013
BHL pire que Depardieu ?
Bernard Henri Levy (BHL) philosophe, éditorialiste, producteur audio, président du conseil de surveillance d’une chaîne TV, très riche mais cependant à la recherche de financements pour des projets perso. Lorsque l’on veut restaurer un palais et que l’on fait appel à une décoratrice de renommée mondiale, il faut trouver les fonds.
Pas d’aide de l’état avec un prêt à taux 0, il faut trouver une solution, pourquoi pas le service public de TV.
C’est ce que vient de faire BHL.
Faisant restaurer son palais à Tanger par Andrée Putman, il vient de négocier avec France 5 la réalisation d’un documentaire sur les travaux et l’œuvre de la décoratrice, budget/film (52 minutes, plus de 400 000 euros – France télé y participe pour 150 000 € – ministère de la culture et celui du tourisme interviendraient également).
Société de production appartenant à François Pinault… et BHL.
source : http://www.vosgesmatin.fr/actualite/2013/01/07/bhl-pire-que-depardieu Alors que le budget de la TV publique stagne, que la production est en crise, les pieds dans le PAF s’interrogent sur les raisons qui ont conduit France TV à accorder un financement trois fois plus élevé que pour tout autre documentaire de France 5. Des questions se posent sur la réalité du budget annoncé, l’aide de la PROCIREP ayant été réfusée, “les films du lendemain “déclarent assurer le reste du financement sur leurs fonds propres. Que M. Bernard-Henri Levy fasse restaurer un palais et que cela fasse l’objet d’un doc sont une chose, qu’il ait des intérêts dans la société qui le produit en est une autre.
Nous ne pouvons que dénoncer ce genre de pratique. y va pas se faire chier non plus