[Essai] Le SLK 250 (R172)

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Le 15 Mars 2011 par Mathieu Sentis


Plus lourd, plus cher, plus propre : le SLK troisième du nom reste-t-il fidèle aux valeurs du roadster ? Étonnamment, oui. Et même plus que jamais...

SLK... ou Classe S ? La question peut se poser, en découvrant la multitude d'équipements technologiques embarqués à bord du nouveau roadster Mercedes : régulateur de vitesse à maintien de distance, système Presafe, qui « prépare » la voiture à une collision imminente, freinage automatique jusqu'à l'arrêt en cas d'obstacle. Sans oublier l'alerte anti-sommeil, que nous espérons inutile dans un roadster propulsion délivrant 204 ch.

Quoique. Pour remplacer le précédent V6 de 218 ch, Mercedes annonce l'arrivée d'un quatre cylindres 1,8 l turbocompressé, « bien plus sobre », et même « doté d'un système Stop and Start ». Passionnant.


Plus sportif

Le moteur s'ébroue et nos premières inquiétudes s'envolent. Le vilain bruit de compresseur, dont souffrait l'ancien quatre cylindres, laisse place à un timbre rauque à bas régime et à de plaisantes résonances à chaque passage de rapport.

Naturellement, nous sommes loin du feulement irrésistible et des performances du SLK 350 V6 et, encore un ton en dessous du 2.0 TFSI de l'Audi TT Roadster. Mais, souple à bas régime et poussant fort dès 2 400 tr/min, le petit 1,8 l propulse le SLK plus vite qu'il n'en a l'air.


Le châssis, lui, encaisse parfaitement la puissance, surtout lorsqu'il est équipé du Pack dynamique (1 450 euros) : direction précise, train avant mordant et belle agilité en entrée de virages ne rappellent rien du comportement habituel des Mercedes.

Seule déception dans cet environnement ludique, la boîte automatique à sept rapports, livrée de série. Indolente en mode normal, caricaturale en mode sport (elle rétrograde très tôt et laisse naviguer le moteur au-delà de 5 000 tr/min, où le 1,8 l n'est plus très à l'aise), elle incite à utiliser le mode manuel... hélas trop lent.

Toujours confortable

En termes d'agilité, le SLK est donc une excellente surprise. Mais n'oublie pas que ses clients aiment aussi la balade tranquille : le confort est correct, le chauffage de nuque toujours aussi agréable, les remous d'air parfaitement contenus, toit ouvert. Le toit s'escamote en 20 secondes, en roulant jusqu'à 8 km/h maximum.

Au besoin, ce dernier se bonifie encore au gré des options : partie vitrée (500 euros), qui peut devenir opaque si le soleil tape trop fort (2 400 euros), ouverture commandable à distance depuis la clef de contact (150 euros).




Alors, comme les rangements ne manquent pas et que le coffre est généreux toit fermé, les longs trajets deviennent une évidence et l'autoroute berce les passagers. Aux légers bruits d'air près, à 130 km/h. Finalement, nous avions presque oublié que le SLK n'était pas une Classe S...



Conclusion

Le premier SLK était beau. Le deuxième, beau et innovant. Celui-ci est beau, innovant et sportif. Cela s'appelle la maturité, sans doute.

Lancement le 26 Mars 2011


On aime :

* - L'agrément de conduite
* - Les options innovantes

On regrette :

* - La gestion de boîte perfectible
* - Le rapport prix/équipement



Fiche technique
Modèle essayé : Mercedes SLK 250 BE

* Vitesse max 243 km/h
* 0 à 100 km/h 6.6 sec.
* Conso autoroute 5.4 litres / 100 km
* Conso mixte 6.6 litres / 100 km
* Conso ville 8.7 litres / 100 km
* Poids 1 500 kg
* Moteur Quatre cylindres Turbo
* Cylindrée 1 796 cm3
* Carburant Essence

* Puissance 204 ch à 5 500 tr/mn
* Couple 310 Nm dès 2 000 tr/mn
* Puissance fiscale 12 CV
* Boîte de vitesses BVA7
* Transmission Propulsion
* Dimensions (L/l/H) 4.13 / 1.81 / 1.30 m
* Réservoir 60 litres
* Capacité coffre 225-335 dm3
* Emissions CO2 153 g/km

47 100 €

Très beau ce SLK !

La couleur sympa, le cuir beige superbe, et alors là j'aime beaucoup les aérateur type SLS, et qui ressemble fortement aux aérateurs des W123, et même les aérations sur le capot, ils se sont peut être inspiré un peu sur la w123.

Et puis le décor et le paysage est sublime!

oui, la mise en scène est sympa

Curieux style tout de même mi-anguleux mi en rondeur.... je ne suis vraiment pas convaincu. Dans le genre petit Roadster je préfère la Mazda MX5 elle est nettement plus craquante... après c'est affaire de goût

Bob a écrit:

Dans le genre petit Roadster je préfère la Mazda MX5 elle est nettement plus craquante... après c'est affaire de goût

La Miata est sympa, mais je la préfère en ph1 avec la capote souple, l'ajout du toit en dur escamotable lui sied moins, je trouve. La MG est sympa aussi

Comme le toit à lamelle des "B"

Les filles de Caradisiac Nos drôles de dames testent la Mercedes SLK
Par Alexandre Bataille Le 15 Juin 2011
Source : www.caradisiac.com



Nos drôles de dames, Martine et Eva ont répondu présent pour le test du roadster Mercedes SLK. Un regard volontairement plus décalé qu'habituellement sur Caradisiac. Mais quelque part tout aussi représentatif.

Après avoir vu cette vidéo, certains parmi vous (encore) ne vont pas manquer de nous faire part de leur étonnement: «Vos deux conductrices n’y connaissent rien. Elles ne nous apprennent rien sur les voitures qu’elles testent». D’abord, ce n’est pas si sûr, mais surtout, ce n’est pas l’objet de cette nouvelle essai.

Avec les «Drôles de Dames de Caradisiac, nous voulons porter un autre regard sur les autos, tout en conservant notre approche consumériste typiquement Caradisiac. D’abord, nous voulons donner la parole aux conductrices. Il est certain qu’elles voient des détails pratiques et pragmatiques que nous ne voyons pas, obnubilés trop souvent par les performances mécaniques. L'une a un peu plus de 20 ans, l'autre un peu plus encore

Donner la parole à des conductrices ? Très bien mais comment les choisir ? Pas facile. Vous connaissant - et allez, on l’avoue, pour nous faire plaisir aussi - nous n’avons pas résisté à sélectionner Eva dont on apprécie à la fois la capacité à dire ce qu’elle pense d’une voiture avec bonne humeur et sans mâcher ses mots, et aussi le sourire si craquant. Une jolie fille qui parle de voitures ? Un peu cliché, non ? Sans doute un peu. D’où l’idée de faire appel à une autre conductrice, différente, d’une autre génération, une femme qui a l’âge d’être grand-mère mais qui le porte avec élégance et charme et surtout doté d’un caractère en acier trempé. Une Tatie Danielle en puissance !

Au final, ce duo qui représente un large éventail de conductrices fait la causette en parlant des dernières autos sorties sans se prendre au sérieux, parfois même en se chamaillant. Pour poursuivre la métaphore amusée avec la fameuse série TV, nous avons en arbitre de leurs joutes, Alexandre-Charlie Bataille. Les drôles de dames de Caradisiac, vous allez apprendre à mieux les connaître. L’une est étudiante, l’autre a été mannequin et fait du théâtre.

A vos commentaires maintenant, en espérant que vous vous amuserez à voir cette vidéo. Mais on vous fait confiance, pas d’attaques frontales sur le physique contre nos drôles de dames sinon, vous aurez affaire à notre Asca maison !!

Source : www.caradisiac.com

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Video

Par Franck DUPRE d'Autonews.fr | Jeudi 18 Août 2011
























Mercedes s'y était jusqu'à présent refusé sur ses roadsters, mais c'est chose faite : le SLK proposera une motorisation Diesel dès l'automne. Si la question de l'agrément pourra se poser, les performances seront bien là, tout comme la frugalité.

L'Alfa Romeo Spyder avait ouvert la voie en 2007, l'Audi TT Roadster lui a emboîté le pas. C'est aujourd'hui au tour de Mercedes, qui avait déjà associé Diesel et cabriolet sur le CLK puis la Classe E, de faire à présent de même sur un roadster, archétype de la voiture d'esthète.

Stuttgart n'a pas fait les choses à moitié en choisissant le 250 CDI, soit le quatre-cylindres 2.1 204 ch qui fait déjà les beaux jours d'une bonne partie de la gamme, associé ici à la boîte automatique 7G-Tronic Plus en attendant une boîte manuelle à six rapports début 2012. Sur la caisse encore relativement légère du petit SLK (4,13 m pour environ une tonne et demi), son couple colossal de 500 Nm (à peine moins que le futur V8 5.5 atmosphérique de la version AMG) fera des ravages, permettant au roadster de s'affranchir du 0 à 100 km en 6"7 et surtout de reprendre de 80 à 120 km/h en 4"3.

80 à 120 en 4"3, 4,9 l/100 km

Le tout en se contentant de 4,9 l/100 km en cycle mixte et 128 g/km de CO2 (soit un bilan plus flatteur que celui d'une Volkswagen Golf TDI 140), notamment grâce à un stop & start, ce qui l'exemptera de malus sur le marché français. Sur le plan musical, on sera évidemment très loin du merveilleux V6 essence, mais l'on peut espérer une insonorisation maîtrisée. Le constructeur se borne à évoquer une "onctuosité impressionnante pour un Diesel."

Disponible dès le 13 septembre en Allemagne à partir de 41 828,50 € TTC, le SLK 250 CDI débarquera en


slk diesel

Bientôt le SLS, disponible en diesel..

J'éspère qu'il mettrons une bon gros moteur Diesel sur la SLS beaucoup plus puissant que l'essence, ce serait trop marrant.

JB

Ils en seraient capable.