Les énergies alternatives.

Par définition, la photosynthèse est le processus par lequel des plantes créent de la matière organique en exploitant la lumière du soleil, l’eau, les sels minéraux et le dioxyde de carbone. Ce phénomène a inspiré deux designers qui ont imaginé probablement la plus écologique des concepts de voitures.


Le véhicule est tout simplement novateur. Il embarque dans son antre un véritable jardin ambulant. Des plantes vivant dans un milieu adapté sont cultivées à l’intérieur de la voiture. La carrosserie du véhicule étant transparente, les plantes qu’il accueille bénéficient des rayons du soleil et peuvent croître convenablement. Tout comme les plantes, le véhicule exploite l’énergie solaire pour alimenter sa batterie électrique. Extérieurement, l’engin affiche un design résolument révolutionnaire. Outre son corps transparent laissant entrevoir les deux occupants et les plantes, la forme de ses roues également inédite. Le véhicule a été imaginé par les concepteurs Michal Vicek et Klavir.

A fond les types, ça va cultiver un maaaaximum " C'est bio m'sieur le policier! c'est bio ! "

Sony développe une batterie alimentée par du papier

http://www.clubic.com/

par Audrey Oeillet le Jeudi 22 Décembre 2011


A l'occasion de l'exposition Eco-Products 2011 qui s'est tenue la semaine dernière à Tokyo, Sony a dévoilé un prototype de batterie écologique qui puise son énergie dans le papier coupé.

Pour élaborer ce prototype d'éco-batterie, la firme nipponne a expliqué s'être inspirée de la manière dont les termites digèrent le bois pour le transformer en énergie : Sony utilise une enzyme nommée cellulase qui, mélangée à de l'eau, permet de récupérer le sucre présent dans le papier. Le sucre est ensuite traité avec d'autres enzymes qui, associées à l'oxygène, le convertissent en ions d'hydrogène et en électrons qui alimentent la batterie.


Sony explique que si le prototype est assez performant pour alimenter un lecteur MP3 basique, il est encore beaucoup trop tôt pour envisager une quelconque commercialisation. « Bien entendu, on en est encore au stade précoce du développement, mais quand vous imaginez les possibilités d'une telle technologie, c'est réellement passionnant » a commenté Yuichi Tokita, un chercheur de la firme.

Au-delà de l'ingéniosité de l'ensemble, ce prototype permet de démontrer qu'il est possible de concevoir des batteries écologiques qui n'intègrent ni produits chimiques, ni matériaux polluant. Mais le chemin sera sans doute encore long avant de voir de tels dispositifs intégrés dans les appareils du quotidien.

Intéressant!

Pour la petite info, l'institut de technologie de Picardie à Amiens travaille également sur ce procédé depuis longtemps et a déjà obtenu des résultat prometteurs, l'idée étant de valoriser les résidus végétaux par décomposition de la cellulose

L'herbe est toujours plus verte dans le pré d'à côté Quand je vois de quelle façon les japonnais ont été en dessous de tout en matière technologique face à la catastrophe de Fukushima, même en matière de robots, où ils sont parait-il les leaders mondiaux......
je me marre je riz jaune

http://www.aps.sn/

22/12/2011 21:14


Kaolack, 22 déc (APS) - L’usage du bio-digesteur (un biogaz) dans la cuisine, l’éclairage et la fabrication d’engrais organiques est en train d’alléger les travaux ménagers dans plusieurs localités de la région de Kaolack (centre).

Une visite de presse organisée par le Programme national de biogaz domestique (PNB) à Koutal, Tallène et Toubacouta a permis de constater à quel point le bio-digesteur facilite l’accès des populations rurales à l’énergie.

Fatou Kâ et Fatoumata Sy, deux dames rencontrées lors de cette visite, utilisent des fourneaux alimentés avec de la bouse de vache transformée en énergie, pour préparer les repas. Elles ne tarissent pas d’éloges à l’endroit de cette technologie venue améliorer leur faciliter les travaux ménagers.

‘’Le bio-digesteur installé avec du sable, du gravier, de l’eau, du ciment […] m’a permis de gagner du temps’’, se réjouit Mme Sy. Elle ne va plus chercher du bois de chauffe en brousse. Le biogaz a l’avantage de ne pas dégager de la fumée, signale-t-elle, ajoutant qu’il lui permet même de ‘’vivre mieux’’.

Chaque jour, elle alimente son bio-digesteur de trois seaux remplis de bouses de vache, ce qui lui permet d’assurer la préparation des trois repas quotidiens. Elle souhaite la vulgarisation de cette technologie qui, selon elle, peut ‘’donner un autre visage au monde rural’’.

Le bio-digesteur sert en même temps à la cuisson des repas et à l’éclairage des ménages. La ‘’fumure organique’’ qu’elle dégage sert à enrichir les terres des bénéficiaires, selon Mactar Sylla, le responsable technique du PNB. Cette structure est en train de vulgariser le bio-digesteur dans la région de Kaolack.

‘’Les femmes utilisant cette technologie seront moins exposées aux maladies respiratoires dues à la fumée’’, affirme M. Sylla.

En leur faisant gagner du temps, ce biogaz leur donne l’occasion de vaquer à d’autres activités comme le maraîchage, la pisciculture, etc., selon le technicien du PNB. Il permettra aussi aux enfants des localités bénéficiaires et non raccordées au réseau électrique d’améliorer leur scolarité, grâce à sa production d’énergie, souligne M. Sylla. A Koutal, dit-il, cette technologie a permis aux éleveurs de couper de moins en moins du bois.

‘’Nous exigeons de tout demandeur d’un bio-digesteur d’avoir au moins trois à quatre vaches, d’être un agropasteur pratiquant la stabulation et la semi-stabulation, et de disposer d’un espace pouvant abriter la technologie. Il faut aussi respecter les distances réglementaires entre le bio-digesteur et les étables…’’, souligne Bassirou Sarr du PNB.

Cette structure, selon ses agents, a installé 325 bio-digesteurs dans les régions de Fatick, Kaolack et Kaffrine de juin 2010 à maintenant. Elle en installera environ 8.000 d’ici à 2013, selon Mor Ndiaye, chargé du marketing au PNB.

PON/ESF/ASG






Plutôt bon comme technologie, ça recycle, le "carburant" est gratos et en quantité renouvelée et à priori le procédé ne serait pas nocif pour la santé.

C'est en effet très intéressant comme technologie.

ne te casses pas la tête que les marchands de pétrole vont vite acheter le brevet et ça passera aux oubliettes

au Sénégal .... pas si sur

le sénégal exporte son pétrole depuis deux ans

chepnico a écrit:

ne te casses pas la tête que les marchands de pétrole vont vite acheter le brevet et ça passera aux oubliettes

Les Chinois ont énormément investi dans cette technique et l'ont déjà industrialisée. Au lieu d'importer de là-bas tout un tas de merdouilles qui vont finir à la benne aussitôt achetées....
J'attends encore de voir un tel modèle commercialisé chez CastoLeroy... mais ce jours là, ça vaudra le prix d'une MB.... ce sera subventionné par l'Etat, pour que les riches bobos puissent s'équiper en faisant payer les pauvres avec une éco taxe supplémentaire tout en leur foutant mauvaise conscience.... tout un système

Vous allez encore me dire que je ne vois que le mauvais côté des choses, mais si les vaches sont constipées, on fait comment ?

mimile a écrit:

Vous allez encore me dire que je ne vois que le mauvais côté des choses, mais si les vaches sont constipées, on fait comment ?

Ca les ferait bien chier !

Depuis 300ans des installations simplissimes de recupération de l'humidité de l'air sont utilsées au Perou et au Chili sur les hauteurs bordant le Pacifique ...ce sont de simple treillis sur lesquels l'eau se condense pour ensuite etre récupérée dans les gouttières ...pour stockage ou utilisation immediate .... Il y a des systèmes similaires en Afrique de L'est !!!
Et surtout il faut que l'hygrométrie de l'air soit suffisante ...ce qui n'est pas le cas dans les zones vraiment desertiques style Kalahari ou même Sahara central ...alors pour condenser un verre d'eau comme celui que boit le gugusse ça va ...mais pour faire pousser des tomates ....
Très court exposé ..ICI :http://fr.ekopedia.org/Fontaine_%C3%A0_vent

http://www.gamaniak.com/video-7837-electricite-gratuite-infinie.html

Pour les bricoleurs

Je vais essayer

Non !Mais vous revez ....???
La piezo-electricité (transformation d'un effort mecanique ,en général pression ,en electricité ...çà marche pour l'allumage des chaudières à gaz ou des poèles à petrole ..pour les briquets ...comme je me fume plus ... mais les courants générés n'ont aucune puissance même s'il y a pas mal de volts .Même pas de quoi faire fonctionner une diode ...même avec un quartz de grande surface !!!
En plus ce rigolo fait marcher son étincelle sur la terre et sort du courant sur les phases ....Pour nous prendre pareillement pour des cons ...il devrait faire de la politique

Ca MAAAARCHE



Mais non j'déconne

Fallait l'dire que tu deconnais ...parce que qd je vois des conn..de ce genre pour enfumer les braves gens çà me fout en rogne ...
Essayez seulement d'imaginer comment une ou deux malheureuses etincelles peuvent fournir assez d'energie pour faire fonctionner une ampoule qui est très energivore !!!

noelbailli a écrit:

Essayez seulement d'imaginer comment une ou deux malheureuses etincelles peuvent fournir assez d'energie pour faire fonctionner une ampoule qui est très energivore !!!

Avec la foi

Je reviens ,à posteriori ,sur les doutes que j'ai pu formuler quant à la viabilité et les quantités d'eau produite par l'éolienne à condensation (pour faire bref ...)

Pour transformer de l'eau gazeuse (vapeur d'eau ) en eau liquide il faut prendre à cette eau gazeuse une certaine quantité de chaleur appelée enthalpie de changement d'état (aussi appelée chaleur latente de chgt d'etat) il faut donc par le processus inverse de l'ébulition lui enlever un certain nombre de calories ..on peut aussi dire lui fournir un certain nombre de frigorie (la frigorie etant une calorie négative !!)
Je vous epargne les calculs d'ajustement en fonction de la T° ambiante où se produit la réaction disons pour faire simple qu'il faut "fournir " à chaque gramme d'eau fabriquée 540 frigories soit lui retirer via les refrigerants 2258 joules et pour un litre d'eau 2258KJoules ..quand on sait qu'une eolienne de taille moyenne delivre 0,2 à 5 Kw (I watt = 1 joule /seconde)..quand il y a du vent et encore en supposant un rendement de 80 % entre electricité produite et groupe refrigerant ,un vent permanent , il faudra environ 27 minutes pour produire un litre d'eau avec un generateur fort (2.5Kw) (ou 1heure et 7 minutes avec un generateur moyen de 1 Kw )et alors il ne faut pas que la famille soit trop assoifée ....et de toute manière la production journalière maximum ne peut assurer un arrosage pour cultures vivrières (ou peut etre en goutte à goutte ...et bonjour les investissements !!!)
Reste à savoir à quel prix ce matériel sera vendu mais vu les contraintes obligatoires de robustesse ,la capacité" tous temps "en milieu hostile ce ne sera pas bon marché ...alors comme à l'habitude les pays developpés auront à payer ... en filant du pognon aux republiques bananières qui taperont l'oseille et ne payeront pas la camelotte que nous payerons une deuxième fois via la Coface(assurance réglement à l' export ) !!!...je n'entrevois pas autre chose qu'un grand succès d'estime ...mais je peux me tromper ....

Faut voir, en y ajoutant un panneau solaire

On verra bien plus tard si le type a obtenu fortune et gloire